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  • Les Beatles appellent à la légalisation de la marijuana

    Lundi 24 juillet 1967 (il y a 45 ans), 9h00 

     

    The Beatles          Ce jour-là, une page entière du journal The Times est réservée à une annonce signée de la main de 64 personnalités les plus en vue de la société britannique qui réclament la légalisation de la marijuana. Parmi ces illustres signataires se trouvaient Les Beatles et Brian Epstein.

    Cette annonce est une réaction à la condamnation à neuf mois d’emprisonnement pour possession de marijuana prononcée le 1er juin 1967 à l’encontre de John Hopkins, fondateur de l’International Times, de l’UFO Club et du 24 Hour Technicolour Dream. Une réunion se tient le jour suivant au Indica Bookshop et c’est Steve Abrams, de l’organisation de la recherche sur les drogues SOMA, qui suggère de porter le sujet à l’attention du public en publiant une annonce en pleine page.

    Abrams veut bien se charger du recueil des signatures mais à ce moment-là c’est le financement de cette action médiatique qui pose problème. Aucun membre des Beatles n’était présent au Indica, mais Barry Miles, le copropriétaire de la librairie, appelle Paul McCartney,qui donne alors son accord pour financer l’annonce.

    Le 3 juin, Miles et Abrams rendent visite à McCartney dans sa maison de Cavendish Avenue. McCartney prend connaissance du projet, dit à Abrams que tous les membres des Beatles et Epstein ajouteront leurs noms sur l’annonce, et leur explique comment contacter le reste du groupe afin de récupérer leurs signatures.

    Le 23 juillet, tout juste un jour avant la publication, Philip Oates fait allusion à l’annonce dans la rubrique Atticus du Sunday Times. Cependant, en coulisses, le directeur de publicité du Times, R Grant Davidson, vérifie nerveusement que toutes les personnes souhaitant être associées à l’article ont bien préalablement donné leur accord.

    Davidson insiste également sur le fait que l’annonce doit être payée à l’avance. Steve Abrams contacte Peter Brown au bureau de Brian Epstein et reçoit très rapidement un chèque de 2267 € personnellement émis à l’ordre du Times. À l’époque, le montant équivaut à deux fois le salaire annuel moyen.

    Bien que McCartney souhaite que la source du financement reste inconnue du public, par peur de publicité négative, il s’avère très rapidement impossible de garder le secret. Un jour après la publication de l’annonce, l’information est divulguée dans le Londoner’s Diary du Evening Standard.

    Une semaine après son apparition, l’annonce suscite des discussions à la Chambre des Communes et un débat public est entamé, le tout se concluant par la libéralisation des lois eu égard à la consommation de cannabis en Grande Bretagne.

    Source: The Beatles Bible 

    site source :http://grainesdecannabis.wordpress.com/2012/07/23/les-beatles-appellent-a-la-legalisation-de-la-marijuana/ 


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  • La guerre contre les cartels de drogue au Mexique : un « vrai-faux » conflit ?

    En décembre 2011, un affrontement à Caracuaro entre l’armée et des narcotrafiquants appartenant au cartel de Caballeros Templarios (Chevaliers des templiers) a fait plusieurs morts parmi les membres de ce groupe, estimés à plus de 1 200. Photo Leovigildo Gonzalez/Reuters
    En décembre 2011, un affrontement à Caracuaro entre l’armée et des narcotrafiquants appartenant au cartel de Caballeros Templarios (Chevaliers des templiers) a fait plusieurs morts parmi les membres de ce groupe, estimés à plus de 1 200. Photo Leovigildo Gonzalez/Reuters
     
    Criminalité Au cours des dernières décennies, les différentes tentatives de mettre fin aux problèmes liés aux activités de groupes de narcotrafiquants ont donné lieu à toutes sortes de spéculation sur la sincérité et l’efficacité des méthodes utilisées. Trois experts se penchent pour « L’Orient-Le Jour » sur la question. 

    55 000 : ce chiffre énorme représente le nombre minimal de personnes tuées depuis décembre 2006, dans le cadre des opérations de lutte contre les narcotrafiquants mexicains. Ces dernières, qualifiées par le président Felipe Calderón de « guerre contre le trafic de drogue », ont commencé à impliquer massivement l’armée mexicaine, bien que celle-ci ait été utilisée dans la lutte contre le trafic de stupéfiants antérieurement. Ce bilan inclut aussi bien les militaires et les trafiquants tués lors d’affrontements, ainsi que les civils pris entre deux feux.


    Mais surtout, ce sont les règlements de comptes entre différents cartels qui sont la cause principale de l’augmentation de la violence et de ses effets. En effet, l’arrestation et/ou la mort de plusieurs chefs – ou en tout cas de membres importants – de groupes criminels ont eu pour conséquences directes des guerres de succession et des luttes intestines au sein même de ces groupes, ainsi que des rivalités entre plusieurs de ces derniers afin de prendre le contrôle du marché de la drogue, ainsi que des points de passage permettant l’acheminement de la drogue – à savoir notamment vers les États-Unis, dont les frontières communes avec le nord du Mexique en font le client principal. Il est donc logique que le nord du pays se soit retrouvé en premier dans le viseur des autorités, particulièrement les États de Sonora, Sinaloa, Chihuahua et Durango. Ainsi, le 12 décembre 2006, sur ordre du président Calderón, plus de 5 000 militaires ont été envoyés dans l’État du Michoacán afin de reprendre aux narcotrafiquants les régions qu’ils contrôlaient, entamant un conflit qui se poursuit encore aujourd’hui.

    Toutefois, cette implication massive – 36 000 soldats et près de 100 000 « sicaires » (littéralement tueurs à gages) – n’a pu endiguer la capacité d’extension des cartels, bien au contraire, même si, dans un premier temps, les autorités mexicaines ont voulu croire à l’efficacité de ces opérations. Parmi les raisons invoquées par les autorités pour justifier leurs échecs successifs face aux cartels, les capacités opérationnelles de ces derniers, notamment en matière d’armes. Une autre raison serait que la police mexicaine souffre d’un retard face aux cartels qui se servent de la technologie comme instrument pour leurs opérations.

    Néanmoins, il va sans dire que c’est la corruption endémique présente dans tous les secteurs qui a permis l’expansion de ces groupes criminels qui puisent leurs éléments dans les couches les plus pauvres de la société mexicaine. Certaines sources estiment même que les cartels ont des réseaux internationaux de drogues et d’armes qui s’étendent à plus de 47 pays (États-Unis – 48 États sur 50 ! – Amérique latine, Inde, Afghanistan, Moyen-Orient...). Entre la corruption, donc, et l’implication économique des narcotrafiquants – ce sont souvent des familles entières qui travaillent ensemble dans la production et la distribution des différentes drogues (opium, marijuana, cocaïne...) –, l’argent est en partie réinvesti au Mexique même, souvent utilisé dans l’achat de terrains et d’immobilier, qui perpétuent et contribuent à l’ancrage des narcotrafiquants dans la société.

    Une légitimité populaire ? 

    suite  site source :http://www.lorientlejour.com/category/%C3%80+La+Une/article/769766/La_guerre_contre_les_cartels_de_drogue_au_Mexique+%3A_un_%3C%3C+vrai-faux+%3E%3E_conflit_.html 


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  • spyro gira

  • débat sur la légalisation du cannabis

    dans ce débat,tous les poncifs sur la non volonté de légaliser,toutes les inexactitudes,les propagandes éculées et les peurs"idéologiques" des moralistes puritains sortent de la bouche de "moustache"qui apparement, à des intérèts à ne pas voir changer cette faillite complète et avérée de la prohibition(surement la peur du chomage...).je vous interpelle monsieur moutache,si les pays bas ont actuellement un mouvement régressif, c'est en grande partie due à la pression exercée par le "défunt"(pas de paix à son àme...) gouvernement fachiste sarkozyste,et au fait qu'en europe,c'est le seul pays qui de par sa tolérance permet, aux consommateurs avertis adultes, de trouver des produits de qualités sans risquer de se retrouver en garde à vue pour simple consommation. forcément cela attire le tourisme dit "cannabique" de la planète entière.

    maintenant, interdit -on les diverses routes du vin, du champagne,des caves de  france et de navarre...juste parce que cela amène un tourisme d'alcolos potentiels, làchés sur nos belles routes de campagnes françaises  ??

    la collusion et l'entente sur la prohibition entre trafiquants et gouvernements diverses sont aussi avérées et effectives (voir cia entre autre...) ,et, cela sert autant l'argument sécuritaire et répressif des gouvernements, que le prix des produits et leurs commerces par des réseaux qui ne se soucient, en aucunes manières, de la qualité de ces mème produits.il semble, monsieur moustache, que la santé et une authentique sécurisation de nos enfants, ne vous préoccupe guère, tant que nous "respectons "un traité" fourbe,relevant du crime contre l'humanité,voulu par le plus grand pays gestionnaire producteur et importateur(afghanistan ,colombie entre autres,...),1er producteur de chanvre à usage récréatif ou médical, que sont les états-unis, qui d'autre part, hypocritement, prohibent mondialement,sous couvert d'une pseudo morale judéo-chrétienne, consistant à s'immicer et s'ingérer, dans nos vies, pour nous "sauver de nous-mèmes "pauvres pècheurs"...

    mais... depuis quand le peuple à octroyé à l'état le titre de" guide spirituel", alpha et oméga de la connaissance infuse?  état qui,de part cette auto-proclamation cette autodistribution de role, nous impose une norme de "sainteté"de "citoyenneté",la république serait-elle "fille de l'église" ?

    ce qui est demander à l'état c'est de gérer et faire cohabiter ensemble,divers groupes religieux culturels ect... ensemble... dans la paix sociale,est-ce agir ainsi, en "criminalisant" et "infériorisant",partie de sa population,sur le seul et unique fait de consommation cannabique ?non c'est certain,ce qui me fait dire que la prohibition a d'autres buts que la santé publique mise en avant ,ou mème la chasse aux trafiquants...chasse, je le rappelle, n'existant que consécutivement à la prohibition et que l'on présente comme la cause justifiant cette mème prohibition, fine subtilité mensongère...

    cette prohibition s'inscrit dans la doctrine maintenant bien connue :"créer le problème pour apporter la solution" ...et surtout que cette solution n'en soit pas une, pour installer des politiques toujours plus restrictives et oppressives sur nos vies d'humains advitam...

    marcoelkako.  

    débat ici

     


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