• Il y a un mois, je vous parlais d’un distributeur automatique de marijuana installé à Auckland dans les locaux de l’association antiprohibitionniste Norml. L’appareil est en fait un simple distributeur de sucreries dans lequel des sachets d’herbe ont été disposés. Une idée originale, mais rien de bien sorcier.

    Comme on n’arrête pas le progrès, des Américains viennent de mettre au point un distributeur automatique conçu cette fois spécifiquement pour la marijuana médicale (légale en Californie, comme dans quatorze autres Etats américains).

    L’Autospense de Dispenselab est équipé d’un double système d’identification, via une carte et une empreinte, le tout surveillé par caméra. Une fois identifié, le patient n’a plus qu’à choisir l’herbe de son choix et régler en carte de crédit ou en cash. Toutes les transactions sont enregistrées pour éviter les trafics et le tout est disponible 24 heures sur 24, comme un distributeur de billets. 

     

     

    Une première machine a déjà été installée dans un dispensaire de Santa Ana, dans le comté d’Orange. Attention toutefois, l’Autospsense n’est pas donné: entre 1500 et 2000 dollars par mois à la location. A ce prix-là, mieux vaut avoir de nombreux clients.

    Arnaud Aubron 

    site source :http://blogs.lesinrocks.com/droguesnews/2012/04/24/les-californiens-aussi-peuvent-acheter-leur-herbe-au-distributeur/ 


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    attendu que ni hollande, ni sarkosy de nagy bosca, n' ont dans leurs programmes respectifs inclus la légalisation du cannabis, et ,par là mème, l'intégration et la reconnaissance de la citoyenneté pleine et entière, des consommateurs de cannabis au nombre approximatif de 5 millions en france.

    attendu que cette discrimination inquisitrice et illégitime, bafoue ouvertement le droit de l'homme dans sa liberté de disposer de lui-mème (corps et ame = 1),et rend "délinquant "au regard de la loi, des individus, qui par ailleurs,comme tous les autres citoyens dans leurs majorités, travaillent, paient taxes, impots et" dettes scélérates" ,et, apportent autant à la france que des individus buveurs d'alcools, ou, fumeurs de tabacs, ou, consommateurs de psychotropes divers,ou,de sodas "énergisants et "excitants" divers.

    j'ai décidé personnellement de m'abstenir de ce 2 ème tour de "manège",bonnet blanc et blanc bonnet (dont un, au moins, taché de sang),et de rendre à ces gens, la mème indifférence mèprisante, dont ils gratifient" le peuple de l'herbe".

    au- delà des classes, d'homme à homme...

    marcoelkako

     

     


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  • Un livre de recettes à base de cannabis paraît aux Etats-Unis


    Mayonnaise infusée au cannabis, "cannabutter" ou beurre au cannabis, cannelloni "ganja" à l'ail, burritos végétariens, gnocchi aux champignons, space cupcakes... Paru aux Etats-Unis, le High Times Cannabis cookbook offre un lot impressionnant de 50 recettes planantes. Le but: "créer des plats savoureux vous offrant une sensation agréable". Rien que ça.

    Rappel des auteurs Elise McDonough et des membres de l'équipe du magazine High Times: avant de le fumer, le cannabis aurait d'abord été largement ingurgité. En introduction, on peut d'ailleurs lire l'hommage des auteurs à l'une des plus anciennes recettes à base de marijuana, à savoir le cocktail "bhang" indien (oui, oui, presque comme la fameuse pipe à eau) à base de cannabis, de lait, d'amandes et de garam masala.

    Effets plus durables

    L'intérêt de cette drôle de cuisine? "Quand vous mangez du cannabis plutôt que de le fumer, ses effets se libèrent (...) durant quatre à cinq heures au lieu de une à deux heures", explique Elise McDonough au Huffington Post, qui apprend même comment extraire le THC de l'herbe avec... du beurre.

    La cuisine vue par High Times soulagerait les musclesendoloris, apaiserait les douleurs et aiderait à la relaxation. Mais "ceux qui ont mangé trop de cannabis peuvent se sentir paniqués, anxieux, agoraphobes, incohérents, voire au bord du pétage de plomb", prennent le soin d'indiquer les auteurs de cet addictif bouquin de cuisine en introduction.

    Aux Etats-Unis, l'usage de marijuana est légal dans 16 états, dans la plupart des cas dans un cadre médical, même si la possession peut être tolérée dans d'autres cas bien précis, en fonction de la quantité trouvée. Précisons aussi que le 20 avril dernier, c'était la "journée nationale du cannabis".

    The Official High Times Cannabis Cookbook: More Than 50 Irresistible Recipes That Will Get You High, par le High Times Magazine, 160 pages, éd. Chronicle Books, paru le 21 mars 2012 (anglais)

    site source :http://cannactus.blogspot.fr/2012/04/cuisine-un-livre-de-recettes-base-de.html 
     
     


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  • en avant première,présenté par rachida, le nouveau gilet de la brigade des stup,100% chanvre naturel (fumable)pour les longues nuits de planques !!! allez rachida roule ton gilet et fait tourner !!!

     


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  • Outre-Atlantique, plus de 300 économistes ont signé une pétition adressée au président, au Congrès, aux gouverneurs et à tout le système législatif. Cette pétition argumente qu'il serait bien plus viable de légaliser (et taxer) le cannabis comme un produit courant. Leur rapportconclut que remplacer la prohibition par la légalisation (et régulation) permettrait une économie de 7,7 milliards de dollars par an en budget fédéral (argent dépensé en pure perte dans le cadre de la prohibition) et rapporterait au minimum 2,4 milliards de dollars annuellement (si la taxe est standard). Si, de plus, on assimile le cannabis à l'alcool et au tabac, les taxes pourraient alors rapporter 6,2 milliards de dollars.

    Trois de ces économistes sont des lauréats du prix Nobel. Les recherches semblent montrer que la prohibition a peu d'avantages et pourrait même provoquer pas mal de dégâts sur l'économie et la société (il suffit de voir ce qui se passe dans les banlieues dites « chaudes » en France). De son côté, le International Institute of Strategic Studies a conclu que la guerre globale contre le trafic de stupéfiants a toujours échoué. Le commerce de stupéfiants s'est répandu en Afrique et Europe de l'Est ces dernières décennies et n'a fait que renforcer ses positions en Asie et en Amérique pendant ce même temps ; bilan calamiteux.

     



    Cette étudeaffirme qu'il faudrait que l'on arrive à bloquer 70 % de toutes les expéditions de drogue pour que le commerce en souffre vraiment et meure. Actuellement, on est plus proche de 10 %... Ne pavoisez donc pas quand on dit que l'on a capturé tant de tonnes de drogues ; l'essentiel a réussi à être écoulé ailleurs.

    Le rapport évoque les alternatives suivantes. Soit l'on passe à la dépénalisation de la possession de drogues (le cas du Portugal depuis une décennie; cet exemple montre que cela fonctionne, même si la dépénalisation ne signifie pas capitulation et déresponsabilisation). L'autre possibilité est que l'on passe à un système de licence afin de contrôler ce marché. C'est ce que l'on avait fait à Londres pour le Gin au dix-huitième siècle.

    Passer à un système de licence permettrait de travailler comme pour le tabac (et on sait que cela fonctionne). Les taxes, les campagnes médiatiques et la législation sociale feraient le reste pour couper l'herbe sous le pied de toute la chaîne. 

    site source :http://www.sur-la-toile.com/article-14973-300-economistes-demandent-la-legalisation-du-cannabis.html 


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