• pour ceux qui aiment ..  c'est cadeau !!!! 

     


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    Libération, le 10 avril 2012

    Le rappeur américain Snoop Dogg publie aux Etats-Unis Rolling Words, un livre à fumer imprimé sur du papier à rouler, dont la couverture est en chanvre et le dos en grattoir d’allumettes. Cet ouvrage réunit les paroles des plus grands succès de Snoop, reproduites avec une encre non toxique, indique mardi le magazine français Livres Hebdo. Les pages sont prédécoupées pour pouvoir les détacher plus facilement et les fumer intégralement. L’interprète de Stoners («défoncés»), plusieurs fois arrêté pour possession de marijuana, indique à ses fans qu’ils pourront acheter l’ouvrage au festival de rock Coachella Valley Music & Arts, en Californie, à partir de vendredi, puis en tirage limité dans le commerce.

    site source :http://tdme.free.fr/?p=4265 
     

     


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  • Deux thèmes brûlants et longtemps tabous figurent au menu du sommet des Amériques des 14 et 15 avril : la réintégration de Cuba dans les instances régionales et la légalisation des drogues. Signe que les Etats-Unis ont vraiment perdu du terrain en Amérique latine. 

    Cinq jours après une rencontre à la Maison Blanche, la présidente brésilienne Dilma Rousseff et son homologue américain Barack Obama se retrouvent samedi et dimanche en Colombie pour le sommet des Amériques. AFP PHOTO/Brendan SMIALOWSKI

    Cinq jours après une rencontre à la Maison Blanche, la présidente brésilienne Dilma Rousseff et son homologue américain Barack Obama se retrouvent samedi et dimanche en Colombie pour le sommet des Amériques. AFP PHOTO/Brendan SMIALOWSKI

    Nombreux sont ceux qui pensent que les sommets présidentiels ne servent à rien. Et, d'une certaine manière, ils ont raison s'ils s'attendent à ce que le monde change du jour au lendemain. Mais, cette fois-ci, il est bien possible que les sceptiques aient tort. Le sommet des Amériques – dont c'est la 6e édition – qui aura lieu les 14 et 15 avril à Carthagène des Indes (Colombie) pourrait se révéler décisif pour le continent. En tout cas, toutes les conditions sont réunies pour que cette réunion ouvre le débat sur deux thèmes historiquement marquants pour la région : la réintégration de Cuba dans le cadre de l'institution et l'ouverture du débat sur la législation des drogues.

    La mise à l'écart de Cuba, cinquante-trois ans après la révolution cubaine, n'a plus aucune raison d'être. Les principes qui avaient été invoqués pour isoler La Havane en 1962 – l'année où les Etats-Unis ont rompu les relations diplomatiques et instauré l'embargo – ne se justifient plus. A l'époque, on parlait de défense collective de la démocratie, car le communisme était perçu comme une menace universelle. Par ailleurs, l'idée selon laquelle il était possible d'exporter la révolution grâce à des entraînements militaires, voire à un soutien armé fourni à des pays tiers, n'est plus valable non plus. Personne ne se dit que Raúl Castro pourrait avoir des ambitions militaires hors de ses frontières.

    Certains Etats sont si convaincus de l'absurdité de la marginalisation de Cuba que plusieurs dirigeants de pays importants – notamment les présidents brésilien, péruvien et argentin – ont fait savoir à María Angela Holguín, la ministre des Affaires étrangères colombienne, qu'ils ne participeraient à aucun autre sommet où Cuba ne serait pas convié. Autrement dit, celui de Carthagène sera sûrement la dernière réunion des présidents des Amériques où le gouvernement cubain ne sera pas présent. [Le président de l'Equateur, Rafael Correa, a ainsi refusé de se rendre à ce sommet du fait de l'absence de Cuba.]

    Concernant la seconde question, c'est peut-être la première fois qu'un sommet débutera avec un consensus, en l'occurrence l'échec de la guerre contre la drogue. Une chose est sûre, tous les chefs d'Etat sont convaincus que les moyens employés ne suffisent plus à neutraliser les dégâts gigantesques du trafic de stupéfiants, et encore moins à asséner le coup de grâce à ce problème. 

    suite site source :http://www.courrierinternational.com/article/2012/04/13/un-sommet-de-chefs-d-etat-decisif-a-carthagene 


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  • Malgré une altération de son image auprès des consommateurs, la cocaïne se banalise dans la société française. Drogue de la performance, elle colle parfaitement à l'époque.

    Valerie Everett / Flickr CC BY-SA 2.0

    - Valerie Everett / Flickr CC BY-SA 2.0 -

    Deuxième produit illicite le plus consommé en France après le cannabis, la cocaïne est l'objet d'un rapport publié par l'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies). Intitulée Cocaïne, données essentielles, cette monographie de 232 pages, la première sur ce stupéfiant, dresse plusieurs constats.

    D'abord, elle indique que la dernière décennie a été marquée par une banalisation de l'usage de la cocaïne. Depuis quinze ans, sa consommation n'a pas cessé d'augmenter. En France, 1,5 million de personnes l'ont déjà testée (cinq fois plus en 2010 qu'en 1992) et 400.000 en consomment au moins une fois dans l'année (trois fois plus en 2010 qu'en 2000). Cette évolution concerne toutes les catégories socioprofessionnelles.

    Comme l'explique le Dr William Lowenstein dans la préface du rapport :

    «Elle s'est extraite des ghettos dorés initiaux pour s'introduire dans tous les milieux comme l'avaient fait, bien avant elle, le tabac, l'alcool et le cannabis.»

    Deuxième enseignement du rapport de l'OFDT: l'image de la cocaïne auprès des consommateurs s'est altérée. Longtemps considérée comme une drogue peu dangereuse, elle est de plus en plus perçue comme nocive par les usagers les plus expérimentés, qui évoquent les conséquences sur la santé, la baisse du plaisir à force d'en consommer et celle du rapport qualité/prix ..

    suite site source :http://www.slate.fr/story/52883/cocaine 


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  • LA HAYE, Pays-Bas, April 11, 2012 /PRNewswire/ --

    Les coffeeshops en danger au centre des débats internationaux sur la légalisation du cannabis

    "Le patrimoine culturel mondial est naturellement considéré comme une propriété universelle, irremplaçable, et unique qu'il es important de préserver" ce sont les mots récemment exprimés par l'association des consommateurs de cannabis WeSmoke. "C'est pourquoi nous croyons que "LE" coffeeshop Néerlandais, fer de lance de la légalisation du cannabis, qui pendant des décennies fut au centre des débats internationaux, doit figurer sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Nous avons actuellement entamé les démarches nécessaires pour en faire parti. "

    Photo: http://www.perssupport.nl/apssite/binaries/content/gallery/afbeeldingen/persberichten/2012/04/11/floris+leeuwenberg+004+1bmp

    Pendant des décennies, mais plus particulièrement ces dernières années, les pays étrangers ont observé avec une vision beaucoup plus ouverte l'exemple de la tolérance Néerlandaise. Étape par étape, le reste de l'Europe et l'Amérique,s'inspirent du "modèle Néerlandais". Tandis qu'aux Pays-Bas, pris pour exemple, cette célèbre tolérance est en panne.

    La Fondation WeSmoke voit cela se produire avec étonnement. "Partout dans le monde il y a un consensus selon lequel la politique de tolérance Néerlandaise fonctionne mieux que la criminalisation de la consommation du cannabis. Pour l'intérêt des citoyens de presque tous les pays occidentaux, il semble essentiel que le phénomène des Coffeeshops Néerlandais doit être protégé. Comment pouvez-vous débattre de quelque chose qui n'est plus là?"

    Un héritage mondial

    "Il ne peut, et ne doit pas être toléré que par un changement de climat politique, une industrie qui de manière correcte et progressive explore le meilleur chemin à suivre en matière de politique sur cannabis, soit poussée hors de la scène mondiale, alors que des voix s'élèvent au niveau international et semble prêtes à adhérer à ce modèle" déclare WeSmoke.

    "Les coffeeshops Néerlandais ont manifestement joués un rôle dans la diminution de la toxicomanie, le développement des applications médicinales du cannabis, le recul de l'activité criminelle, et l'acceptation sociale associée au cannabis. Si sur ces faits la politique Néerlandaise actuelle refuse l'évidence, nous espérons que l'UNESCO pourra nous aider à préserver la liberté des coffeeshops à exercer leur activité, et faire des coffeeshops Néerlandais un patrimoine culturel mondial, ils le méritent!"

    Le soutien politique

    Par ailleurs, un réel soutien politique à cette initiative concrète existe . WeSmoke est actuellement en discussions avec plusieurs éminents (ex-)politiciens et regarde avec beaucoup de sérieux la façon dont cette initiative pourrait aboutir. "De nombreux soutiens inattendus nous arrivent de toutes parts et notamment un soutien politique pour ce projet."

    "Nous allons continuer notre action. Si nous réussissons à élever au rang de patrimoine culturel mondial les coffeeshops Néerlandais, ce sera un signal fort d'appréciation sociale en ce qui concerne la légalisation du cannabis. Nous ne pouvons pas penser à un signal plus fort et plus positif compte tenu du climat politique actuellement sous tension.  tension

    site source :http://www.prnewswire.com/news-releases/les-coffeeshop-neerlandais-sur-la-liste-du-patrimoine-mondial-de-lunesco-147000595.html 


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