• CRS

     

                                               http://mahamudras.blogspot.com/2010/10/les-casseurs-assermentes.html

     

    CRS en grève...envoyez- leurs leurs collègues !!!!


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  • Léa et Tom sont condamnés par l’État à devenir des SDF !

    Pétition pour le droit à un habitat modeste écologique et choisi

    lundi 10 janvier 2011 (Date de rédaction antérieure : 7 juillet 2010).

    APPEL A SOUTIEN POUR LE DROIT A UN HABITAT CHOISI MODESTE ECOLOGIQUE ET CITOYEN ! LE DROIT DE VIVRE ET TRAVAILLER LOCALEMENT !

    L’audience en appel est fixée au 17 février prochain à 14 heures au tribunal de Toulouse. Pour se rendre au procès, voir l’agenda de Toulouse.

    Signez, si ce n’est déjà fait la pétition ci-dessous (texte mis à jour).

    LEA ET TOM CONDAMNES PAR L’ÉTAT A DEVENIR DES SDF !!!
    En pleine crise du logement ! En pleine crise économique !

    La situation du logement en Ariège est catastrophique ; impossible de trouver des locations dans le département ; alors que les zones rurales se désertifient, des touristes fortunés font main basse sur l’immobilier. Des jeunes qui travaillent, intégrés socialement ! Des jeunes qui ont choisi de vivre en milieu rural, donc qui revitalisent les campagnes ! Des jeunes fortement impliqués dans une démarche d’habitat écologique et de préservation de la nature !

    Ont été CONDAMNES par l’ÉTAT devant le Tribunal Correctionnel de Foix à la DESTRUCTION DE LEUR HABITAT, une amende de 600€ et 10€ par jour de PÉNALITÉS de retard.

    Leur DÉLIT : avoir choisi d’habiter une tente (une yourte) plutôt que de crever de froid dehors !

    Ils ont comparu en première instance le 9 février 2010 suite à une plainte de la DDEA* (un service public !), sur le fondement d’articles du code de l’urbanisme pour infraction au permis de construire. Ils font APPEL et réclament la RELAXE et le droit à un habitat MODESTE ÉCOLOGIQUE ET CHOISI ! le droit de vivre, le droit de travailler localement !

    suite site source:http://www.halemfrance.org/spip.php?article55#p%C3%A9tition

    merci à gekos 11


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  • Il est évident qu’il existe une certaine association entre les substances psychoactives et la criminalité.  Il est tout aussi évident que ce lien est beaucoup plus complexe qu’on ne le dit parfois, comme l’a souligné le professeur Brochu lors de son témoignage devant le Comité. 

    « Seulement à mon bureau de l’Université de Montréal, 2 973 études tentent d’établir un lien entre les substances psychoactives et la criminalité.  La majorité de ces études viennent des États-Unis ou de pays anglophones, et cela a pour effet de teinter quelque peu la vision des choses parce qu’on sait que nos voisins américains ont opté pour une approche répressive dans le domaine des drogues illicites.  Ce qui ressort de l’ensemble de ces études, c’est la complexité du lien entre la drogue et le crime. »

    Depuis son témoignage, le professeur Brochu a rendu publique l’étude dont il a fait mention au Comité.

    On peut examiner la relation drogue – criminalité sous au moins trois angles : les effets de la substance elle-même, les effets du coût de la substance, et l’appartenance de la drogue au monde illicite.

    Une proportion importante des contrevenants a des problèmes reliés à l’abus de substances psychoactives, l’alcool au premier plan.  De fait, l’étude conclut que l’alcool est la substance la plus fréquemment associée aux délits de violence ; dans le cas des délits contre la propriété, ce sont les drogues illicites qui dominent.  Le cannabis venait au troisième rang (3 à 6 % selon l’étude), loin derrière l’alcool (24 %) et la cocaïne (8 à 11 %).

    Sur la seconde approche, les auteurs établissent qu’entre 17 % et 24 % des détenus ont commis une infraction pour se procurer l’argent nécessaire à l’achat de la substance de choix, la plupart du temps de la cocaïne.

    Enfin, sur la troisième approche, le fait que les drogues illicites soient marginalisées fait en sorte d’exposer les usagers à un milieu déviant.  Nous avons noté à la section précédente que, concernant le cannabis, le fait que les revendeurs puissent offrir de l’héroïne ou du crack en même temps que du cannabis peut favoriser une trajectoire de passerelle vers ces autres drogues.  De la même manière, le fait que ces substances soient illégales peut contribuer à amener des personnes vers une trajectoire délinquante.  De plus, le milieu du trafic de drogues est un milieu relativement violent où se commettent toute une série d’infractions.  Enfin, le seul fait de vendre du cannabis constitue en soi une infraction pénale et l’on sait qu’un certain nombre de personnes sont incarcérées pour cette raison (du moins si la quantité est supérieure à 30 grammes).

    Au total, le cannabis en soi ne mène pas à une trajectoire délinquante et c’est plutôt l’inverse qui pourra se produire : une personne s’inscrivant jeune dans une trajectoire de délinquance sera plus rapidement exposée aux drogues illicites et pourra expérimenter plus tôt et s’installer plus tôt dans une carrière de consommateur.

    De plus, en raison même de ses effets psychoactifs relaxants et euphorisants et de ses effets moteurs sur le relâchement du tonus musculaire, le cannabis est peu propice à entraîner des actes de violence.

    Les données des études sur les consommateurs à long terme confirment ce portrait d’ensemble sur la relation entre cannabis et criminalité.  Ainsi, Cohen et Kaal ont observé que moins de 5 % de leurs répondants avaient commis des infractions pour obtenir du cannabis (menus larcins, vol à l’étalage, vols).  L’infraction la plus fréquemment commise pour obtenir du cannabis était d’en vendre.

    En somme, le Comité retient que le cannabis n’est pas une cause de violence ni de criminalité sauf dans de rares cas et à l’exception bien entendu de la conduite sous l’influence dont il sera question au chapitre 8.

     site source :http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/commbus/senate/com-f/ille-f/rep-f/repfinalvol1part2-f.htm#Cannabis, violence et criminalité

    pour accéder au rapport complet du comité spécial du sénat canadien en 2002 trés intéressant je trouve et qui démontre une fois de plus ...

    lien : http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/commbus/senate/com-f/ille-f/rep-f/repfinalvol3-f.htm



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  • cannabis dans l’histoire

    Bien que les itinéraires historiques du cannabis demeurent encore obscurs, des archéologues ont découvert un village chinois où l’on retrouverait la plus ancienne utilisation de la plante de cannabis, soit environ 10 000 ans.  Elle était principalement utilisée pour faire des vêtements, des câbles et filets de pêche, du papier, et d’autres fins décoratives.  Elle était aussi considérée comme l’une des cinq céréales de la Chine.  Vers 2 000 avant Jésus-Christ, on se serait aperçu des propriétés psychotropes et médicinales de l’huile (résine) de cannabis, notamment pour traiter les cas de fatigue menstruelle, de goutte, de rhumatisme, de malaria, de constipation, de manque de concentration et comme anesthésiant.  On a identifié aussi des utilisations à caractère religieux, notant que son utilisation permettait de communiquer avec les esprits et d’alléger le corps.  Au premier siècle avant Jésus-Christ, les taoïstes utilisaient les graines de cannabis dans leurs encensoirs pour provoquer des hallucinations qu’ils considéraient comme une façon d’atteindre l’immortalité.

    Plusieurs historiens attribuent l’origine du cannabis aux Scythes vers le VIIe siècle avant J.C. autour de la Sibérie et de l’Asie centrale du Nord.  Selon Hérodote, historien grec ayant vécu au cinquième siècle avec le Christ, la marijuana faisait partie intégrale du culte des morts que les Scythes suivaient pour rendre hommage à la mémoire et à l’esprit de leurs chefs disparus.  On a aussi retrouvé des traces de consommation de cannabis, souvent à des fins religieuses, chez les Sumériens ainsi que, selon certains, dans certains passages de la Bible.

    La première description ethnographique de l’inhalation de marijuana par des peuples anciens comme stimulant psychotrope a été confirmée par un anthropologue russe, Rudenko, en 1929.  Non seulement a-t-il trouvé le corps embaumé d’un homme et un chaudron de bronze rempli de graines de marijuana brûlées, mais il a également trouvé des chemises de tissu de fibres de chanvre et des encensoirs métalliques conçus pour inhaler la fumée de marijuana.  Cette activité n’était apparemment pas de nature religieuse mais une activité quotidienne à laquelle participaient les hommes comme les femmes, comme le confirmerait la découverte du corps congelé d’une femme de 2 000 ans dans le même cimetière où Rudenko avait fait sa première découverte.  Les archéologues ont trouvé enterré dans un tronc d’arbre creux quelques-unes de ses possessions, dont un petit contenant de cannabis qui aurait été fumé pour le plaisir et utilisé dans des rituels.

    En Inde, le cannabis est étroitement associé aux coutumes magiques, médicales, religieuses et sociales depuis des milliers d’années.  D’après une légende trouvée dans les Vedas, Siva est décrit comme « le Seigneur du bhang » une boisson faite avec des feuilles de cannabis, du lait, du sucre et des épices.  Cette boisson fait encore partie des traditions de certaines castes.  Le cannabis y est aussi reconnu pour son utilisation dans les pratiques sexuelles du tantrisme.  Environ une heure avant le rituel du yoga, le pratiquant boit un bol de bhang après avoir récité un mantra à la déesse Kali.  De même, le « charas » occupe une place particulière dans les cérémonies de prières appelées pujas.  Enfin, le cannabis a été utilisé à des fins médicales.

    Bien qu’elle ne soit pas originaire de l’Afrique, la plante de cannabis fait partie de traditions religieuses, médicales et culturelles sur presque tout le continent.  En Égypte, elle est cultivée depuis plus de 1 000 ans, tandis que les premières preuves de sa présence dans les parties centrale et méridionale la situent en Éthiopie du XIVe siècle où des fourneaux de pipe en céramique contenant des traces de cannabis ont été découverts.  En Afrique du Nord, le cannabis a influencé la musique, la littérature et même certains aspects de l’architecture puisque dans certaines maisons une pièce était réservée au kif où les membres de la famille se rassemblaient pour chanter, danser et raconter des récits.  La plante était aussi utilisée comme remède contre les morsures de serpent (Hottentots), pour faciliter l’accouchement (Sotho) ou contre l’anthrax, la malaria, la fièvre bilieuse et l’empoisonnement du sang (Rhodésie).

    En Amérique du Sud, ce seraient principalement les esclaves importés d’Afrique qui auraient amené le cannabis.  Dans les Antilles, notamment en Jamaïque, les travailleurs des Indes orientales ont amené le cannabis, où il est non seulement à usage récréatif mais est intégré à de nombreuses dimensions de la culture jamaïcaine et au culte rastafari notamment.

    Quant à l’Amérique du Nord, on ne sait pas au juste quand les propriétés psychotropes du cannabis ont été découvertes.  Certains pensent qu’il jouait un rôle dans plusieurs cultures autochtones, d’autres doutent qu’il ait jamais joué un rôle important.  La preuve la plus ancienne de l’existence du cannabis en Amérique du Nord remonte à Louis Hébert, apothicaire de Champlain, qui a fait connaître le cannabis aux colons blancs en 1606, essentiellement comme fibre servant à faire des vêtements, des cordages, des voiles et des câbles de bateau.  Ses propriétés psychotropes n’auraient cependant été découvertes qu’au XIXe siècle.  Entre 1840 et 1900, il a été utilisé dans la pratique médicale dans presque toute l’Amérique du Nord.  Il était prescrit pour diverses affections telles la rage, le rhumatisme, l’épilepsie, le tétanos et comme relaxant musculaire.  Son utilisation était d’ailleurs tellement répandue que des préparations de cannabis étaient vendues librement dans les pharmacies.

    La première étude du cannabis a été effectuée en 1860 par la American Governmental Commission.  Le Dr Meens, présentant les constatations de la Commission à la Ohio State Medical Society disait : 

    [Traduction]  « Les effets du cannabis sont moins intenses que ceux de l’opium et les sécrétions ne sont pas tout à fait supprimées par son utilisation.  La digestion n’est pas perturbée ; l’appétit a tendance à augmenter ; l’effet du chanvre dans son ensemble est moins violent et produit un sommeil plus naturel, sans nuire au fonctionnement des organes internes ; il est certainement préférable à l’opium dans bien des cas et il ne se compare pas à cette drogue sur les plans de la force et de la fiabilité. »

    site source:http://www.parl.gc.ca/37/1/parlbus/commbus/senate/com-f/ille-f/rep-f/repfinalvol1part2-f.htm#Cannabis, violence et criminalité

     


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  • conférence de f.asselineau sur l'authentique histoire du sacré merdier que nous subissons tous.merci à totokop du zéroweb qui à poster ce lien que j'avais perso perdu, aprés la destruction partiel de mon disque dur par un vilain, méchant,pas beau virus...

     

     

      


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