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    documentaire de michael moore sur les assassins financiers appelés banquiers ,sur leurs emprises  vampiriques et heureusement avec humour( paske y a de quoi foutre des baffes, des coups de pieds aux culs, voir beaucoup plus...)

    lien mégavidéo :http://www.megavideo.com/?v=X202FOEJ


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                                                 Dans un coffee shop, aux Pays-Bas. (REUTERS)

    lice69: Alors que les politiques de prohibition sont un échec dans le monde entier, l’opposition à la libéralisation «sous contrôle» des drogues est-elle liée essentiellement à des questions morales ou financières?

    Michel Henry: C’est surtout lié à des questions morales: les drogues illicites font peur, il y a un tabou surtout en France qui empêche d’en discuter sereinement.

    cause_toujours: L’expérience faite aux Pays-Bas avec la vente libre de drogues douces a-t-elle fait chuter le marché parallèle des drogues?

    Le marché parallèle existe toujours, mais une bonne partie des consommateurs se ravitaille dans les coffee shops. Le problème, c’est que l’approvisionnement de ces coffee shops se fait toujours sur le marché illégal. Le gouvernement n’a pas légalisé la production des drogues. Les coffee shops ont donc recours à des dealers illégaux. Ils ont le droit de vendre, pas d’acheter, ce qui est assez paradoxal.

    havrez: Quelle législation proposez-vous?

    Je pense qu’il faut être prudent et avancer produit par produit. On peut instaurer en France un marché régulé du cannabis comme ce qui se fait avec un certain succès aux Pays-Bas depuis trente-cinq ans: tout majeur peut acheter cinq grammes de cannabis dans un coffee shop. Parallèlement, on peut mettre en place la distribution médicalisée d’héroïne comme cela se fait en Suisse avec succès, pour une petite proportion de toxicomanes qui n’arrivent pas à décrocher. Les Suisses ont accepté cette distribution médicalisée lors d’un référendum qui a recuilli 65% d’opinions favorables. Comme quoi, si on explique bien les mesures, l’opinion publique peut les accepter.

    suite site source :http://www.liberation.fr/societe/1201403-la-guerre-contre-la-drogue-une-lubie


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    buldog coffeeshop amsterdam

    En matière de sécurité, l’époque est aux déclarations martiales. C’est la guerre aux délinquants et la reconquête par la République de la moindre parcelle de son territoire !

     

    Vous voulez vraiment briser les maffias qui régissent la vie de trop de Cités en France ? Rien de plus simple, il suffit de taper au porte-monnaie, de casser l’économie au noir sur laquelle repose cette dérive maffieuse, ou plus précisément, son moteur, sa machine à produire massivement du cash au quotidien: le trafic de cannabis. Pour cela, il y a une solution radicale : légaliser. Tout légaliser. Pas seulement le produit, mais toute la filière, depuis la production jusqu’à la distribution. Ceux que l’on appelle « dealers » aujourd’hui deviendront d’honnêtes commerçants qui paieront leurs impôts sur le revenu. On ira chez Nicolas pour le pinard et chez Momo pour le pétard ! Les agriculteurs auront un nouveau débouché et la Sécurité sociale une nouvelle source de financement.

    suite site source :http://www.lepost.fr/article/2011/01/20/2377981_eradiquer-les-maffias-des-cites-haaaa-chiche.html


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     "live on ten legs "sorti le 17 janvier de l'an 2011 ...ça c'est de la musique de droguéééééééésssssss !!!!! à écouter sans modérations et à donf 

    lien deezer :http://www.deezer.com/fr/music/pearl-jam#music/pearl-jam/live-on-ten-legs-734569


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    La prohibition des drogues ne servirait-elle plus qu'à permettre aux forces de l'ordre de faire du chiffre ?  - (Photo archives NR, Jérôme Dutac)

    Guerre perdue. "La guerre contre le cannabis est perdue. Il vaudrait mieux que le marché soit légalisé parce qu'on ne peut rien faire contre le fait qu'en France, quasiment quatre millions de personnes en fument régulièrement ou occasionnellement". Ces propos sont ceux d'un policier cité par notre confrère Michel Henry, chef du service société à Libération. Ce fonctionnaire de police résume assez simplement l'action menée par les forces de l'ordre contre la consommation et les trafics de stupéfiants : "On essaie de vider la mer avec une petite cuillère"

    Inégalité de traitement. Michel Henry a aussi recueilli le témoignage d'Éric de Montgolfier : "Il a plus de trente ans de pratique du métier et se rend bien compte que la loi est difficile à appliquer et qu'en plus, elle l'est inégalement sur le territoire : si vous êtes arrêté à Chambéry ou à Paris pour détention de stups, vous n'aurez pas droit au même traitement. Cela dit, Éric de Montgolfier ne trouve pas pour autant qu'une forme de légalisation serait bonne. Il estime que si on supprime l'interdit, on envoie un mauvais message aux jeunes, que si on leur dit que le cannabis, ce n'est pas si mal que ça, ça les incitera à aller vers des produits plus dangereux. Et c'est aussi un argument recevable".

    suite site source :http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/People/A-quoi-sert-encore-l-interdiction-des-drogues


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