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    dans ces vidéos pierre lance ,écrivain philosophe ,nous conte des histoires de savants et de chercheurs mis à l'écart par "le système"simplement parceque leurs inventions étaient efficaces.

    les savants et chercheurs exclus:

    Mirko Beljanski,met au point des produits efficaces contre le cancer et le sida.

    Paul Kammener,prouve par des expériences sur des salamandres, l'héridité des caractères acquis.

    Antoine Prior,construit une machine rayonnant à base d'ondes électriques ,et, électromagnétiques, dont les champs détruisent les tumeurs, et, cellules cancéreuses, sans détruire les cellules saines.

    René Quinton,met en lumière la composition chimique de l'eau de mer et du sang humain,met au point un plasma d'eau de mer isotonique et démontre ,expérimentalement, que la transfusion d'eau de mer peut remplacer la transfusion sanguine

    Jean Solomidés,invente ce qu'il nomme les 'physiatrons synthétiques,qui détruisent la membrane des cellules cancereuses. 

    bon visionnage!!

    http://www.dailymotion.com/video/x8qzul_1-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    http://www.dailymotion.com/video/x8qzty_2-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    http://www.dailymotion.com/video/x8qz16_3-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    http://www.dailymotion.com/video/x8qyoy_4-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    http://www.dailymotion.com/video/x8qyu1_5-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    http://www.dailymotion.com/video/x8r0fh_6-savants-maudits-et-chercheurs-exc_tech

    merci à gekos11


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    "liberty bound" documentaire de Christine Rose sur l'aprés 9/11 la démocratie en berne et le fascisme grandissant aux usa,des témoignages de gens du peuple confrontés à l'instauration "paranoiaque" du "patriot act" de la mafia bush.

    lien documentaire :http://video.google.fr/videoplay?docid=8208557271386479224#

     en accompagnement de cette info des échos:

    MICHEL KTITAREFF
     Bientôt la fin de l'anonymat sur Internet?
     

    Le patron de Google, Eric Schmidt, a créé une belle effervescence cet été, lors d'une conférence technologique réputée, en Californie, Techonomy. Il a en effet déclaré, à propos de la manière dont Internet devrait évoluer dans les années à venir : « La seule façon de faire pour qu'il fonctionne de façon transparente est d'en finir avec l'anonymat. » Pour être plus clair encore sur l'obligation, selon lui, d'identifier individuellement les internautes, il précisait : « Il nous faut un service qui vérifie l'identité des gens. De toute façon, les gouvernements le réclameront bientôt. »

    Ces propos ont sérieusement choqué ceux qui pensaient que l'anonymat était l'une des caractéristiques fondamentales du Web et qu'il devait le rester. Convaincus que c'est grâce à lui que le Web a su conquérir, en seulement vingt ans, 2 milliards d'utilisateurs. Un tiers de la planète.

    Les remarques d'Eric Schmidt sont d'autant moins passées inaperçues que l'homme n'est pas seulement le PDG du principal moteur de recherche en ligne et, à ce titre, probablement le plus grand collecteur d'informations personnelles au monde. Il est aussi membre du club très restreint des conseillers technologiques du président Barack Obama. Un personnage influent, donc, et à l'évidence bien informé des intentions des grands de ce monde. 

    Ainsi, selon Human Rights in China, une ONG fondée par des étudiants chinois, un haut dignitaire du régime, Wang Chen, directeur du State Council Information Office, a récemment prévenu de la fin prochaine de l'anonymat sur Internet en Chine. « Nous ferons un système d'identification réelle sur Internet le plus vite possible », aurait-il annoncé aux députés chinois.
     
    Si une telle prise de position n e peut totalement surprendre de la part d'un gouvernement qui censure et surveille déjà largement le Web dans son pays, on s'attendait moins à ce que la même préoccupation soit exprimée par le gouvernement américain.
     
    C'est pourtant ce qui s'est passé, en juin dernier, lorsque Howard Schmidt (un homonyme sans lien de parenté avec le patron de Google), le nouveau responsable de la sécurisation d'Internet à la Maison-Blanche, a proposé le déploiement d'un système « d'identification volontaire et vérifiée ». Celui-ci serait basé sur la possession d'une carte à puce capable d'identifier l'empreinte digitale de l'internaute. Qui devrait ainsi montrer patte blanche, via un lecteur relié à son ordinateur, à chaque fois qu'il se connecterait à Internet.
    Officiellement, pour le gouvernement américain, l'objectif est moins de surveiller l'activité en ligne de ses concitoyens que de lutter contre la cyberdélinquance. Mais le résultat est le même .Pour les détracteurs du projet - et ils sont nombreux parmi les associations de protection de la vie privée -, une telle carte pourrait vite évoluer. Simple moyen d'identification au début, elle pourrait se transformer un jour en « cyberpermis de conduire », un examen qu'il faudrait réussir (en fonction de quels critères ?) pour être admis à surfer sur le Net…
     
    Face à la levée de boucliers déclenchée outre-Atlantique, la question qui se pose est de savoir quelle est vraiment la motivation du gouvernement américain pour s'aventurer sur un terrain aussi glissant. Si l'on peut écarter d'emblée les motivations politiques, à la chinoise, les raisons de type sécuritaire, pour limiter les dangers du cyberterrorisme, peuvent être rejetées de façon tout aussi certaine.
     
    Rien de plus simple en effet, pour un internaute un peu averti, de s'équiper des logiciels nécessaires pour tromper n'importe quel serveur concernant la localisation exacte de son ordinateur. Le fait qu'il ait à s'identifier - sous une identité qui d'ailleurs pourrait être usurpée -ne change rien à son éventuelle capacité à lancer des cyberattaques, sans risquer d'être inquiété. La seule solution pour lutter contre cette délinquance, qui cherche à détruire tout ou partie du fonctionnement du réseau ou à pirater des serveurs d'entreprises ou gouvernementaux, est que les serveurs qui administrent le trafic soient dotés des logiciels adéquats. Ce qui n'est qu'à peine ébauché actuellement.
     
    Reste donc, pour le gouvernement américain, les raisons « commerciales ». L'économie américaine, plus que n'importe quelle autre, est organisée en fonction d'Internet. Elle est devenue particulièrement dépendante du bon fonctionnement du réseau et surtout de la confiance qu'il inspire aux internautes consommateurs. Les banques, par exemple, ont tellement licencié et supprimé d'agences qu'elles ne seraient pas capables de faire face si leurs clients, perdant confiance dans la banque en ligne, retournaient faire la queue au guichet. Les secteurs du tourisme (agences de voyages en ligne), du commerce de détail (cybermarchands), des transports (livraisons à domicile), pour ne citer qu'eux, se sont massivement réorganisés en fonction de ce qu'apporte le réseau.
     
    Il devra d'autant plus inspirer confiance que la révolution de l'informatique nomade s'annonce, qui rendra encore plus nécessaire une confiance réciproque entre marchand et consommateur.
     
    D'ailleurs la présentation d'Howard Schmidt était bel et bien effectuée dans cette logique : la future « carte d'identité Internet » a pour but de garantir une identification certain e pour accéder à des services marchands, dans une confiance réciproque.
     

    Le gouvernement américain - et l'on peut penser que la plupart des autres pays présents sur Internet avec lui -proposera donc bientôt à ses concitoyens d'échanger de l'anonymat contre de la confiance.

    Malgré sa logique, ce deal ne sera pas si simple à faire passer. On peut donc s'attendre, dans les mois qui viennent, à ce que de plus en plus de responsables économiques et politiques influents, comme celui de Google, se livrent à un travail de persuasion pour préparer les esprits.

    Bientôt la fin de l'anonymat sur Internet ? MICHEL KTITAREFF Michel Ktitareff est correspondant des « Echos » à Palo Alto, Californie.

    site source:http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/020757398056.htm

     


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    dans ce film de pierre carles, on suit pierre bourdieu de conférences ,en réflexions et écritures, un moment  instructif

    lien du film:

    http://video.google.com/videoplay?docid=-9084835922398472214#


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  •                                            photo :http://www.qctop.com/articles/upload/Vienne-74365.jpg

     

    La Déclaration de Vienne est un énoncé qui vise à améliorer la santé et la sécurité communautaires par le biais de l’intégration de preuves scientifiques dans les politiques sur les drogues illicites. Nous invitons les scientifiques, les professionnels de la santé et le public à appuyer ce document afin de porter ces enjeux à l’attention des gouvernements et des organismes internationaux, et de montrer que la réforme des politiques sur les drogues est une question d’importance primordiale à l’échelle mondiale.

    POUR LIRE LA DECLARATION ET LA SIGNER (le cas échéant...) c'est ici:

    http://www.ladeclarationdevienne.com/


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  • Drogues: la guerre perdue de la prohibition

    Le débat dérangeant sur la légalisation des drogues, en particulier des drogues dures et leur mise à égalité juridique avec l’alcool, vient de franchir un pas. Celui de 15 minutes d’antenne dans une émission de débat à la télévision.


    dro2-papaver.jpgSur son blog, Dominique Jordan a déjà alimenté ce débat et s’est fait l’écho des thèses de l’économiste libéral Milton Friedman, pour qui la prohibition est non seulement inefficace mais coûte cher.

    En France les débats sur une quelconque forme de drogue sont en principe interdits. On sait que ce pays n’a rien à envier à l’ex-Union Soviétique. Il faut taire ce que le pouvoir central juge inopportun, que ce pouvoir soit de gauche ou de droite. Le soviétisme n’a pas de vraie couleur politique. On se souvient de Tchernobyl, où comme par magie le nuage radioactif était supposé contourner les frontières de l’hexagone. La rigidité française est d’autant plus amusante qu’au temps de l’Indochine les autorités avaient la maîtrise de la production d’opium et que celui-ci était paraît-il d’excellente qualité!

    Prohibition des drogues: un bilan catastrophique

    Le magazine Books de septembre fait de ce débat un dossier entier. Les arguments en faveur d’une légalisation sont en partie les mêmes que ceux de Milton Friedman, en ajoutant aux critères économique des critères sociaux

    «Quels sont-ils ? Le principal résume tous les autres : le coût économique, social et politique de la prohibition dépasse de très loin les bénéfices qu’elle est censée apporter. Malgré l’intensité de la « guerre anti-drogues » menée par les États-Unis sur leur territoire et ailleurs dans le monde depuis des décennies, la consommation dans ce pays n’a pas diminué ; elle s’est « démocratisée », au contraire, les prix ayant baissé. Un demi-million de personnes sont entassées dans les prisons américaines pour n’avoir souvent fait que consommer une substance illicite. Quand ils en sortent, ils vivent en marge de la société. Les cartels de la drogue n’ont jamais été aussi puissants, faisant trembler sur leurs bases les fragiles démocraties latino-américaines. Au Mexique, les têtes coupées roulent sur l’asphalte. Partout, la corruption vérole les polices, les tribunaux et jusqu’aux plus hautes sphères des États.

    Il n’est pas bien difficile de comprendre que la prohibition actuelle reproduit l’erreur de celle de l’alcool dans les années 1920, avec des effets décuplés sur le crime local et international, la santé publique et la cohésion sociale. Si l’on ajoute à ce tableau la question de l’Afghanistan, où l’armée américaine et les talibans se disputent de facto le contrôle de l’épicentre de la production de l’héroïne mondiale, on voit aussi que la prohibition contribue à compromettre la paix dans le monde.»


    Au Mexique, 28‘000 morts en quatre ans directement liés à la guerre des cartels de la drogue. 500‘000 citoyens américains en prison pour avoir consommé, citoyens qui deviennent des humains déclassés à la sortie de prison. Un coût sanitaire de produits non contrôlés exorbitant. Des Etats qui perdent des sommes astronomiques dans la prohibition sans aucun succès. Le bilan global de la prohibition est catastrophique.

    Le vrai problème c’est la prohibition

    Les réactions vis-à-vis de la drogue sont généralement très émotionnelles et irrationnelles. Certains commentaires qui fleurissent sous ces débats accusent clairement les promoteurs de la légalisation de pousser les jeunes à la mort et d’être des criminels. Fort bien. C’est louable de prendre la défense de la jeunesse et de la santé publique. Mais que font ceux qui écrivent cela? Militent-ils dans des associations anti-drogue? Ont-ils la moindre efficacité dans un combat qui est perdu depuis des décennies? Non. Il y a toujours plus de consommateurs, de petits délinquants qui veulent se payer des doses hors de prix et coupées avec de la cochonnerie, de dealers qui meurent à 20 ans, des cadavres, de la corruption, des millionnaires criminels qui font la loi, des populations terrorisées, bref: le tableau de la prohibition est un désastre. Et ce désastre est en route depuis la deuxième guerre mondiale puisqu’avant il n’y avait pas de prohibition et que l’usage des substances psychotropes ne posait pas les problèmes que nous connaissons aujourd’hui.

    C’est depuis la prohibition que les drogues sont devenues un problème sanitaire majeur en occident.

    Dro5-alcool-1-jpg.jpgOn peut souhaiter l’éradication de la drogue dans la société. Donc de l’alcool aussi? Et des drogues médicamenteuse dures aussi? Ah non, la morphine pharmacologique est médicale. Elle sert au mieux-être des malades. Et si la drogue illégale servait aussi au mieux-être de ceux qui la prennent? Comme l’alcool? Comme la clope? Comme le sucre en excès qui rend euphorique avant de déprimer? On peut aussi changer la société: moins de stress, de course à l’argent, de divorces, d’isolement, et il y aura peut-être moins besoin de s’évader dans ces substances. Yaka s’y mettre!

    Une légalisation? On en est très loin! Pourtant un pays l’a fait depuis 10 ans. Je cite à nouveau Books:

     

     

    Bien peu de Français savent qu’un tel pays existe. Il est proche de nous. C’est le Portugal, qui a décriminalisé l’usage de toutes les drogues en 2001. Ce pays a désormais près de dix ans de recul pour juger de l’intérêt de cette mesure. Or le bilan est clairement positif. La consommation de drogues y est désormais l’une des plus faibles d’Europe et se fait dans des conditions sanitaires et psychologiques optimisées.»

    Le résultat est bien plus positif que la prohibition.

    Prohibition qui est devenue un problème majeur et un échec retentissant, qu’aucune idéologie ou raison sanitaire ne peut plus justifier quand on voit les dégâts grandissants qu’elle engendre. Continuer sur cette voie, c’est encourager le crime organisé, la délinquance et l’aggravation de la situation sanitaire des utilisateurs.

    Ou alors, soyons clairs et déterminés: il faut éliminer tous les utilisateurs de drogues: il n’y aura plus de problème! On a bien commencé avec ces fumeurs de calumets que sont les amérindiens, continuons.

    Et les buveurs d’alcool, substance que tous les spécialistes classent dans les drogues dures? On en fait quoi?

    Plus sérieusement, oser repenser la prohibition devrait ressortir du plus élémentaire pragmatisme

    site source:http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/09/14/drogues-la-guerre-perdue-de-la-prohibition.html

     


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