• solidarité avec cet homme courageux ,et quelques infos sur les agissements illégaux des banques,à faire suivre.

     vidéo trouvée sur le toujours excellent blog de pierre jovanovic :http://www.jovanovic.com/blog.htm 

    allez y, vous verrez l'hécatombe mondiale  de travailleurs jetés à la rue ... 

     


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  • Les députés tchèques ont approuvé vendredi une proposition de loi autorisant l'usage thérapeutique du cannabis qui sera délivré sur ordonnance dans les pharmacies à partir de l'année prochaine.

    Seule la marijuana importée sera disponible la première année et il faudra attendre 2014 que la culture privée locale de cannabis soit autorisée dans le pays.

    Le texte de loi doit encore être approuvé par le Sénat avant d'être promulgué par le président. «L'objectif de cette mesure est de rendre le cannabis médical accessible aux patients qui ont en besoin et qui l'utilisent déjà aujourd'hui alors que cela va à l'encontre de la loi», a expliqué Pavel Bem, membre du groupe de députés à l'origine du projet de loi.

    La République tchèque autorise déjà la culture, la possession et la consommation, mais non la vente, de marijuana dans une limite de 15 grammes.  

    REUTERS.

    site source :http://www.20minutes.fr/ledirect/1060191/usage-therapeutique-cannabis-autorise-republique-tcheque 


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  • Toujours aussi bien documenté, Rudi Barnet poursuit sa série de mementos sur la Palestine. Avec encore le même objectif : « Fournir un « aide-mémoire » à celles et ceux qui, comme moi, sont opposés à toute forme d'embrigadement et qui placent l'être humain au-dessus de toute religion et idéologie ! » Après s'être penché sur la question du nettoyage ethnique, Rudi poursuit son travail et soumet Israël au test d’apartheid. La « seule démocratie du Moyen-Orient » rentre-t-elle dans les critères ? (IGA)

     

     
    A peine des hommes, je vous dis !
     
    Quand, en 1982, Menahem Begin[i] prononça ces fortes paroles à la Knesset, ses collègues députés applaudirent chaleureusement la clairvoyance de son jugement.
    Il n'était pas, loin de là, le premier à afficher ainsi son mépris pour les êtres humains originaires du pays conquis.
    Il y avait déjà une bonne cinquantaine d'années que les leaders sionistes considéraient les Palestiniens comme des sous-hommes :
     
    Chaim Weizmann[ii], premier président d'Israël, n'avait pas hésité, par exemple, à déclarer "Les Britanniques nous ont dit qu'il y a là quelques centaines de milliers de nègres et qu'ils n'ont aucune valeur"[iii]
    Yizhak Shamir[iv], premier ministre, proclamait également sa haute considération de l'être humain : "Les Palestiniens seront écrasés comme des sauterelles… leurs têtes éclatées contre les rochers et les murs."[v]
    De son côté, Ehud Barak prévenait déjà, il y a plus de dix ans, la population israélienne que "Les Palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent"(Jerusalem Post du 30/8/2000)[vi]
    Le grand rabbin Yossef Ovadia y va aussi de son exhortation (12/4/2001) : "Puisse le Nom Divin répandre le châtiment sur les têtes arabes, et faire égarer leur semence et les annihiler !Il est interdit d'avoir pitié d'eux !
    Nous devons leur lancer des missiles avec joie et les exterminer. Ils sont malfaisants et damnés !"
    Un autre rabbin, Yitzhak Ginsburg, affirme que "Le sang juif et le sang des goys (non-juifs) ne sont pas les mêmes," et que "tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives." [vii]
    ... Sans oublier Avigdor Lieberman[viii], ministre des Affaires étrangères, qui proposait, en 2009, d’appliquer à Gaza "Ce que les Etats-Unis ont fait au Japon à la fin de la seconde guerre mondiale."... Autrement dit, d’y envoyer une bombe atomique.
    Quant à Eli Yishai, ministre de l’intérieur du gouvernement actuel, qui mène une véritable chasse aux émigrés africains, il déclare en juin 2012 : "J'utiliserai tous les moyens pour expulser les étrangers car Israël appartient à l’homme blanc ! " [ix]
    Ce discours sur la pureté de la race ne vous rappelle rien ?
     
    Il serait illusoire de croire que cette xénophobie se limite à quelques leaders politiques ou religieux fanatiques.
    Comme en témoigne un sondage publié en octobre 2012 par le quotidien israélien "Haaretz", c'est à tous les étages de l'Etat que le mal s'est installé.[x]
     
    T-shirt de l'unité de snipers du bataillon Shaked de la Brigade Golani
     
    42 % refusent d’habiter dans le même immeuble que des arabes israéliens et ne veulent pas que leurs enfants
    aillent à l’école avec des enfants d’origine arabe.
    33% voudraient que l’Etat instaure une loi interdisant aux citoyens arabes de voter aux élections législatives
    69 % sont opposés à l’idée du droit de vote pour les Palestiniens si Israël annexe la Cisjordanie.
    74 % sont favorables à des routes séparées pour Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie
    58 % sont conscients du régime d’apartheid en vigueur à l’encontre des Arabes, mais l’approuvent.[xi]
     
    ... Rien d'étonnant quand on sait que, dès la petite enfance, le système éducatif israélien tend à favoriser la ségrégation et à convaincre le citoyen qu'il appartient à un "peuple élu", victime permanente de l'antisémitisme, mais protégé par "l'armée la plus morale du monde".[xii]
     
    Militarisation de l'Education...
     
    "Les manuels scolaires israéliens correspondent à toutes les catégories du discours raciste, à la fois verbal et visuel"
    Accusation antisémite ?
    Non, c'est l'avis de Nurit Peled-Elhanan, professeure israélienne spécialisée dans l’éducation à l’Université hébraïque de Jérusalem.[xiii]
    Dans son dernier ouvrage "La Palestine dans les manuels scolaires israéliens : Idéologie et Propagande dans l’Education"[xiv]elle précise que la quasi-totalité des sujets contenus dans les programmes israéliens d'enseignement sont imprégnés d'un nationalisme exacerbé.
     

    Dessin utilisé au jardin d'enfants pour apprendre à compter ![xv]
     
    Exemples de règles à suivre dans un nouveau guide pour la préparation aux examens en éducation civique dans les université israéliennes : les filles israéliennes doivent rester à l’écart des Palestiniens, parce que "les jeunes arabes constituent une menace pour la vie des jeunes filles" et que "les relations entre les jeunes hommes arabes et les jeunes femmes juives représentent une menace pour la majorité juive dans le pays"
    Un nouveau programme, "Derekh Erekh" (Chemin des Valeurs) va être mis en pratique en 2012 afin d'inculquer le sens du devoir et de l'allégeance à lʼEtat. Il vise, en priorité, à renforcer les liens entre les écoles israéliennes et lʼarmée.
    "Les enseignants sont des appelés tout au long de leur vie !" a déclaré le ministre de lʼEducation, Gideon Saar, en présentant ce programme.
     
    Formation militaire d'enfants dans une colonie
     
    Pour tenter d'amenuiser la mauvaise image qu'engendre cette politique pédagogique, les officines occidentales de propagande publient journellement des articles scandalisés sur la militarisation des jeunes Palestiniens.
     
    Quelle est la réalité ?
    Faute d'argent, l'UNRWA (ONU) a renoncé en 2012 à l'organisation des camps de vacances pour les jeunes de Gaza. Le Hamas a tenté de suppléer à cette défaillance et a mis sur pied des camps qui offrent une occupation à une minorité d'enfants et d'adolescents.
    Ces camps ont indéniablement certains aspects militaristes (exercices de type commando, notamment) et la formation politique à la résistance contre Israël y est présente au travers de slogans comme "Une main tient un stylo et l’autre un fusil" ou "Une main étudie et l’autre lutte contre Israël".[xvi]
    Même limitée à quelques camps de Gaza, cette initiative est sans aucun doute attristante... Mais elle est sans commune mesure avec l'ampleur de la politique militariste de l'Etat d'Israël, générale et bien plus dangereuse : les armes ne sont pas en plastic dans les formations des petits israéliens... et les balles sont bien réelles.
     
     

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    Le Frente Amplio (coalition au pouvoir) vient de présenter un projet de loi qui doit légaliser la vente de cannabis et permettre aux particuliers de cultiver pour leur usage personnel jusqu’à six plants de cannabis. Ce projet de loi comporte plus de trente articles. L’Etat, par le biais de l’Institut national du cannabis (INCA), devrait octroyer des autorisations spéciales à des particuliers et à des associations de cultivateurs pour leur permettre de produire eux-mêmes cette drogue. L’organisme se chargera également de la surveillance et de l’évaluation des plantations. Le cannabis sera cultivé sur des terrains privés dotés des conditions de sécurité nécessaires afin d’éviter les vols et assurer la bonne qualité de la drogue qui sera ensuite vendue. La loi n’empêchera cependant pas l’Etat de se lancer dans cette production s’il le souhaite.

    Une licence pour cultiver du cannabis

    Les particuliers devront payer une cotisation à l’Etat afin d’obtenir la licence les autorisant à produire cette plante. Mais seul l’Etat, par le biais de l’INCA, sera habilité à vendre la marijuana. Les particuliers pourront se procurer jusqu’à 40 g de marijuana par personne et par mois dans les dispensaires locaux de vente de cannabis, conçus sur le modèle californien.

    L’objectif est d’offrir au consommateur un échange personnalisé et de pouvoir l’informer des dangers de la drogue. Des consultations sur le sevrage seront également proposées. Les consommateurs auront accès à quatre sortes de cannabis différentes : le cannabis indica (à effet relaxant et aux propriétés pharmaceutiques), le cannabis sativa (aux effets énergisants et euphorisants) et deux autres sortes de cannabis réalisées à partir de mélanges. La drogue ne pourra être commercialisée que sous l’appellation cannabis, il n’y aura ni marques ni publicités incitant à sa consommation. Cette substance sera soumise aux mêmes restrictions que celles appliquées au tabac.

    Le projet autorise également le regroupement de cultivateurs, pour un usage personnel, c’est-à-dire que ceux-ci ne pourront pas revendre leurs récoltes à des tiers, et ce afin d’éviter un marché parallèle. Les associations de cultivateurs devront également demander une autorisation afin de pouvoir cultiver du cannabis, un permis délivré pour une quantité de plants bien précise, en fonction du nombre de personnes intégrant l’association. La culture à domicile sera autorisée (jusqu’à 6 plants de cannabis par personne) pour une récolte maximale de 480 g par an, ce qui revient à une consommation de 40 g par mois. 

    suite site source :http://www.bienpublic.com/actualite/2012/12/02/l-etat-vendeur-de-cannabis


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