• Par Marc-André Miserez, swissinfo.ch


     

    Vouloir une société sans drogue, c’est courir après une utopie. Forts de ce constat, une commission internationale de sages, une ancienne ministre suisse qui en est membre et, plus récemment, deux juristes de l’Université de Neuchâtel prônent un changement de cap. Radical.


     

         Contrôle de présumés dealers de rue à Lausanne. Aujourd’hui, les deux tiers des moyens affectés à la politique des drogues en Suisse vont à la répression.

    Légende: Contrôle de présumés dealers de rue à Lausanne. Aujourd’hui, les deux tiers des moyens affectés à la politique des drogues en Suisse vont à la répression. (Keystone) 

           

     

      1961. Les Nations unies ratifient la Convention unique sur les stupéfiants. Le texte prône un régime mondial de prohibition, en y incluant pour la première fois le cannabis. 1971. Le gouvernement américain de Richard Nixon déclare sa «war on drugs», qui doit aboutir par tous les moyens - y compris militaires - à un monde débarrassé des stupéfiants.

    40 ans plus tard, la guerre a coûté des millions de milliards de dollars, mais elle est perdue. Le monde n’a probablement jamais consommé autant de drogues, et le trafic pèserait globalement (selon une estimation du FMI) 400 milliards de dollars par an, que se partagent groupes mafieux et organisations terroristes. Tant en termes de santé publique, de sécurité, que de droits de l’homme, le constat d’échec est total.

    «Pensez simplement que la moitié des condamnations à mort prononcées dans le monde le sont pour des affaires de stupéfiants, souvent mineures, et qu’un tiers des contaminations par le VIH hors Afrique subsaharienne se fait par l’échange de seringues», rappelle Ruth Dreifuss, qui instaura dans les années 90 la politique suisse dite des «quatre piliers» (prévention, thérapie, réduction des risques, répression).


     

    Un premier pavé dans la mare

    Aujourd’hui l’ancienne ministre de l’Intérieur et présidente de la Confédération milite au sein de la Commission mondiale pour la politique des drogues, une «initiative citoyenne» partie d’Amérique latine, où les ravages des guerres de la drogue sont particulièrement terribles.

    Autour des trois anciens présidents Zedillo (Mexique), Gaviria (Colombie) et Cardoso (Brésil), elle compte des membres aussi illustres que les écrivains Carlos Fuentes et Mario Vargas Llosa, prix Nobel de littérature, l’ancien secrétaire général de l’ONU Kofi Annan, l’ancienne Haut-commissaire aux Droits de l’homme Louise Arbour, l’ex-secrétaire d’Etat américain George Shultz, l’ancien patron de la Fed Paul Volcker ou le fondateur de Virgin Richard Branson.

    En juin 2011, la Commission a rendu un rapport en forme de pavé dans la mare, qui prône l’urgence d’une «réforme fondamentale des politiques antidrogues à l’échelle nationale et internationale».

    En vrac, il s’agit de cesser de criminaliser les consommateurs et de respecter les droits des personnes impliquées aux niveaux inférieurs du trafic (fermiers, passeurs, petits revendeurs), de promouvoir les traitements à la méthadone et la prescription médicalisée d’héroïne, ou d’éviter les messages simplistes comme «non à la drogue» et les politiques de tolérance zéro pour privilégier les programmes d’information et de prévention crédibles

    Et au final, la Commission appelle les gouvernements à «s’assurer que les conventions internationales soient interprétées ou révisées afin de fournir une base légale solide permettant d’expérimenter la réduction des risques, la dépénalisation et la régulation légale».

    «Je ne sais pas si le monde est prêt pour un tel changement de cap. Mais je sais que de nombreux dirigeants sont conscients de la nécessité de nouvelles approches. Le rapport a suscité beaucoup d’intérêt et nous sommes souvent sollicités», explique Ruth Dreifuss, qui était encore tout récemment à l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime de Vienne, après un passage très médiatisé en janvier devant une commission du Parlement britannique, en compagnie de Richard Branson.


     

    Pour la légalisation totale

    En novembre 2011 un autre pavé était tombé dans la mare. Sous le titre Lutte contre la drogue: stupéfiantes contradictions? et en 90 pages bien documentées, deux doctorants en droit de l’Université de Neuchâtel prônent rien moins que la légalisation de toutes les drogues illicites.

    Ludivine Ferreira et Alain Barbezat sont eux aussi partis du constat d’échec total de la guerre contre la drogue. «La répression est inefficace, en Suisse comme ailleurs, note ce dernier. Les études en criminologie montrent que pour qu’une peine soit dissuasive, elle doit être infligée de façon rapide, certaine et qu’elle ait aussi une certaine sévérité. Or, les deux premiers points ne sont le plus souvent pas respectées, et la sévérité, au-delà d’un certain niveau, n’apporte plus rien en termes de prévention de la criminalité. Elle peut même avoir un effet pervers».

    Mais de là à légaliser… Les deux juristes se rendent bien compte que la proposition est invendable dans le contexte politique actuel. La permissivité dont certaines polices cantonales et communales avaient fait preuve au début des années 2000 n’est plus qu’un souvenir et en 2008, 63% des votants ont refusé une initiative populaire pour la dépénalisation du cannabis.

    Il y a deux semaines, la Chambre basse du parlement a pourtant accepté de ne plus poursuivre pénalement les consommateurs pris en possession de 10 grammes au plus de «stupéfiants ayant des effets de type cannabique», qui s’en tireraient avec une amende de 200 francs. Mais la discussion a été passionnelle, le vote serré, et la proposition doit encore passer par la Chambre haute.

    «Notre but, c’est aussi de déranger, de faire avancer le débat, admet Ludivine Ferreira. Donc si on s’interdisait des propositions sous prétexte qu’elles vont déplaire, on n’avancerait pas et on en serait peut-être toujours à la peine de mort en Suisse».


     

    Pas de rayon «dope» à la Migros

    Les deux jeunes juristes n’en prônent pas pour autant une «société de la défonce» et ne rêvent pas de voir des rayons «dope» ouvrir dans les supermarchés. Pour eux, d’ailleurs, la politique suisse des quatre piliers, qui traite les drogues comme une question de santé publique et non comme une simple question pénale, va tout à fait dans la bonne direction.

    Le problème à leurs yeux, c’est que les deux tiers des moyens affectés à la lutte contre les stupéfiants en Suisse vont au pilier «répression», jugé inefficace. «Si on légalise, ces moyens iront aux autres piliers, à la prévention, aux traitements, note Ludivine Ferreira. Et tout cela doit entourer la légalisation, parce que juste légaliser, c’est bien joli, mais ça ne sert à rien».

    Quant au risque, brandi par les opposants à tout assouplissement de la prohibition, de voir la consommation exploser, les deux juristes peinent à y croire. Et ils ne sont pas les seuls.

    «Aujourd’hui, il est relativement facile de se procurer à peu près n’importe quelle drogue, fait remarquer Alain Barbezat. Pourtant, bien des gens ne le font pas, retenus qu’ils sont par d’autres interdits que l’interdit pénal: le non attrait, l’interdit moral, la conscience des risques pour la santé… On entretient cette image du grand méchant Code pénal qui nous surveille et dès qu’il détournerait les yeux, tout le monde mettrait les doigts dans le pot de confiture. Mais elle est fausse!»


     

    Marc-André Miserez, swissinfo.ch 

     

    site source :http://www.swissinfo.ch/fre/societe/La_guerre_a_la_drogue_est_perdue,_essayons_la_paix.html?cid=32305340 


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  • Madame, Monsieur,

    Les médecines naturelles sont victimes de persécutions qui semblent n'avoir qu'un seul but :

    • que vous et moi n'ayons plus d'autre option que les médicaments chimiques produits par l'industrie pharmaceutique.

    Peu importent les résultats sur notre santé :

    Au début des années 2000, le taux de prise en charge par la Sécurité sociale des produits homéopathiques est passé de 65 à 35 % ; il est question maintenant de le réduire à zéro. C'est déjà quasiment acté en Angleterre, où la British Medical Association (BMA) a demandé l'arrêt de la mise à disposition des patients de produits homéopathiques par le système de santé (NHS).

    L'ostéopathie, elle, malgré des millions de personnes soulagées de leurs douleurs, y compris des ministres, n'a jamais été remboursée, et ce n'est pas demain qu'elle le sera : jusqu'en 2008, notre « Académie nationale de médecine » traitait les ostéopathes de « charlatans » sur son site Internet.

    Concernant la médecine par les plantes, ses jours sur notre territoire semblent comptés. Le diplôme d'herboriste a été supprimé sous Vichy (1941). La 5e République, elle, s'est chargée d'anéantir le commerce des plantes médicinales : aujourd'hui, ne demeurent à Paris, que quatre herboristeries, une centaine sur l'ensemble de la France. Il y en a 50 fois plus en Allemagne ou en Angleterre !

    Et quant aux médecines orientales, c'est le nettoyage par le vide : il n'y plus aucune officine spécialisée en médecine chinoise à Paris.

    Mais le plus insupportable, c'est que cette destruction méthodique des savoir ancestraux concernant un aspect essentiel de nos vies se fait au nom du « progrès de la science » et de la « protection des malades » !

    L’Agence Européenne du Médicament (European Medicines Agency) et l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA, European Food Safety Authority), habilement influencées par l'industrie pharmaceutique, a réussi ce tour de passe passe incroyable de faire passer les médicaments chimiques, y compris les plus toxiques, comme la seule approche rationnelle face à la maladie.

    Et alors que les scandales sanitaires se multiplient (Vioxx, Médiator, Buflomédil, prothèses PIP pour les plus récents...), elles prennent des mesures draconiennes visant à faire tomber l'immense majorité des produits naturels, y compris de simples vitamines, des oligo-éléments et des minéraux, dans la catégorie des médicaments.

    Cela signifie pour vous et moi qu'ils ne seront plus disponibles autrement qu'en pharmacie, et souvent même sur ordonnance, gonflant ainsi les profits de l'industrie pharmaceutique, du lobby médical mais en reportant le fardeau financier sur les patients comme vous et moi.

    Des centaines de petits producteurs s'apprêtent à se faire étrangler par ces décisions, qui ne reposent, le plus souvent, sur aucune argumentation scientifique.

    Nous ne devons plus accepter cette oppression, qui menace notre santé et plus encore celle de nos enfants.

    Nous sommes aussi en droit d’exiger – à minima - de nos candidats aux élections présidentielles qu’ils aient une vision pour notre système de santé et plus particulièrement en période de crise.

    Etant donné l’importance grandissante des médecines naturelles dans le cœur des Français, ne pourraient-ils pas à tout le moins favoriser la coopération entre les médecines ?

    Pourquoi refusent-ils encore d’accorder la moindre importance a un mouvement de fond qui plusieurs dizaines d’années ne cesse de grandir ?

    Les médecines alternatives ont toute leur place en complément de la médecine officielle.

    Mais dans la campagne électorale, c'est comme si le problème de la santé publique n'existait pas. Le sujet ne fait tout simplement pas partie des propositions des candidats.

    C'est pourquoi je vous demande de signer l'appel ci-joint aux candidats à l'élection présidentielle en France. Nous devons être des centaines de milliers à exiger qu'ilss'engagent à respecter notre droit à chacun de se soigner autrement.

    Si nous sommes des centaines de milliers, notre appel peut obliger les candidats à sortir de l'ambigüité, et à afficher clairement leur position.

    Rien ne peut justifier que les pouvoirs publics privent les citoyens de solutions naturelles, sans effets secondaires, qui peuvent soigner des maladies, en particulier dans les (nombreux) cas où la médecine allopathique n'a rien à proposer.

    Notre mobilisation est partie d'un mouvement spontané et généreux : en mars 2011, nous avons réuni 1,5 millions de signatures directive européenne THMPD, sur les remèdes à base de plantes médicinales.

    Nous avons rapidement pu rencontrer les responsables européens, puis commencer un travail de fond sur les législations à modifier, pour que le droit des patients soit respecté. Nous avons créé un institut à Bruxelles, l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN).

    Mais notre travail prend chaque jour un caractère d'urgence de plus en plus pressant : en ce moment même, l'Union Européenne prépare de nouvelles directives qui semblent faites pour briser les fabricants de compléments alimentaires naturels.

    Ces persécutions sont d'autant plus révoltantes que c'est dans le domaine des médecines naturelles que se font aujourd'hui les découvertes scientifiques les plus porteuses d'espoir pour les patients :

    Nutrithérapie, micronutrition, médecine orthomoléculaire, endothérapie, phytothérapie, médecine cellulaire, beaucoup de chercheurs s'accordent à dire que c'est  que se trouvent les gisements de connaissance d'où émergera la médecine de demain.

    → Des dizaines de médecins et chercheurs hors-normes ont ouvert des pistes prometteuses pour des maladies graves, et ont été étouffés. Nous devons les défendre.

    → On sait, aujourd'hui, que c'est en faisant preuve d'ouverture d'esprit qu'on retrouvera de réels espoirs de soigner les maladies comme le cancer, l'arthrose, le diabète, la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaques, Parkinson, les problèmes de prostate, les maladies cardiovasculaires ou encore la dépression et l'insomnie.

    Car contre toutes ces maladies et problèmes de santé, la vérité est que la médecine conventionnelle est démunie. Beaucoup de ses traitements ont des effets violents, qui peuvent parfois être pires que le mal.

    Peu de personnes le savent, mais vous avez aujourd'hui, dans un pays comme la France, cinq fois plus de risques de mourir des effets secondaires de vos traitements médicaux que d'un accident de voiture.

    On nous promet que cela va changer. Que de nouvelles molécules chimiques sont à portée de la main, pour peu qu'on investisse quelques milliards de plus dans la recherche.

    Mais la réalité est que, depuis dix ans, la recherche sur les nouvelles molécules chimiques piétine : l'écrasante majorité des nouveaux médicaments vendus à prix d'or par l'industrie pharmaceutique sont en fait des molécules naturelles qui ont été copiées et reproduites en laboratoire, dans le seul but de pouvoir être brevetées, et donc de garantir les superprofits des fabricants.

    Il n'y a là aucune préoccupation réelle du bien-être et de la santé des patients.

    C'est pourquoi je vous demande de signer notre Appel aux candidats à l'élection présidentielle. Nous leur demandons d'arrêter les législations favorables à l'industrie pharmaceutique, et les persécutions contre les fabricants de produits naturels (non brevetés, non remboursés).

    Votre signature donnera plus de poids aux actions entreprises par notre institut :

    Sensibilisation des élus : afin d'aider au vote de nouvelles lois plus équilibrées, nous travaillons sur les textes pour faire des propositions de réformes crédibles aux pouvoirs publics ; nous assurons une présence permanente auprès des législateurs, pour nous assurer qu'ils ont en main les bonnes informations pour décider.

    Action auprès de l'opinion publique : nous diffusons plusieurs fois par mois des informations dans plus de 710 000 foyers, sous forme de textes mobilisateurs ou de vidéos.

    Participation à des groupes de travail, colloques, assemblées : les représentants de l'IPSN travaillent en synergie avec de nombreuses organisations amies agissant aux niveaux français et européen ; cela implique de participer à de nombreuses rencontres, et d'assurer une présence aux événements majeurs ;

    Rencontres, colloques : l'IPSN est présent aux grands événements (Salon Marjolaine, Fêtes des Simples, Congrès de l'Alliance pour la Santé...). Le 30 mars 2012, nous organisons à Paris un grand colloque avec le Professeur Henri Joyeux et le Docteur Bérengère Arnal, dans les locaux de l'Université de la Sorbonne sur la nutrition,première médecine.

    Toutes ces actions sont indispensables pour faire vivre l'idée que la santé naturelle a sa place dans notre société moderne, qu'elle est même indispensable.

    Mais seule votre participation aujourd'hui à notre Appel aux Candidats peut donner à nos revendications une légitimité démocratique.

    Nous avons besoin de votre soutien pour envoyer un message clair aux candidats à l'élection présidentielle : une immense masse d'électeurs leur demandent de s'engager à défendre le droit de chacun de choisir sa médecine, et d'arrêter de se ranger du côté de la grande industrie.

    Et c'est pourquoi j'insiste pour vous demander à vous, citoyen responsable, de signer notre appel aux candidats maintenant, et pour soutenir ce combat indispensable, d'apporter une contribution financière à notre association sans but lucratif.

    Car tout notre travail vital, nous le faisons sans la moindre subvention publique.

    Nous devons assurer toute la logistique indispensable à un mouvement d'envergure européenne comme le nôtre (bureau à Bruxelles, téléphone, secrétariat, site Internet...), et seule votre générosité peut y contribuer.

    Faire un don à notre association n'est bien sûr pas obligatoire :

    Après avoir signé votre Appel aux Candidats, vous serez redirigé sur une page où il vous sera proposé de faire un don sécurisé par Paypal à notre association.

    Vous pouvez choisir de contribuer... ou non.

    Et si vous le faites, c'est vous qui choisissez le montant, selon ce que vous jugerez raisonnable.

    Notez bien que nous sommes organisés pour exploiter au mieux le plus petit don que vous choisirez de nous adresser. Il n'y a pas de limite minimum. Et dans tous les cas, vous ferez une différence importante, peut-être même décisive.

    Pour l'avenir de notre mouvement pour la défense des médecines naturelles en Europe, tout va dépendre de ce que vous décidez de faire maintenant, en cliquant ici.

    Avec tout mon dévouement,


    Augustin de Livois

    Président

    PS : si vous hésitez à faire un don à notre association, il existe un autre moyen de nous soutenir. Vous pouvez vous abonner à Santé Nature Innovation, le mensuel sur les nouveaux traitements naturels validés par la recherche scientifique, et dix euros de votre abonnement seront reversés à notre association. Pour en savoir plus surSanté Nature Innovationcliquez ici. 


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     bravo à ce scooteriste assassineur d'avoir "détourné" l'attention médiatique de l'importance de ce  dimanche "insurectionnel",de ce qui a été démontré.

    merci à lui de permettre aux gouvernants actuels d'activer le plan vigipirate niveau " écarlate"afin de remettre un chouilla d'oppression sur le peuple dans son ensemble(comme vu ce matin aux zinfos,un playmobil controlant les sacs d'une femme d'environ 50 ans  marchant simplement dans la rue, sans scooter, ni casque...).

    nous sommes donc victimes et témoins du système de la stratégie du choc  grossièrement visible,afin  si possible entre autre, d'étouffer dans l'oeuf le formidable mouvement citoyen qui eu lieu dimanche,et certainement d'en entraver, le plus possible, les suites et initiatives diverses locales ou régionales.

    ce dimanche les tenants du système en place se sont rendus compte que le peuple français de gauche authentique est  vivant et la peur les a saisie aux tripes ...

    .résultat "on sort la terreur et les calibres !!"

    je conseillerais donc à la majorité des scooteristes non assassins de france, de marcher pendant quelques temps ou d'utiliser les transports en communs ,cela n'évitera peut-etre pas les controles,mais cela évitera certainement un grand nombre de"diverses bavures".et surtout" vigilance écarlate" pour les scooteristes de" banlieues" !!!


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  •  interessante discussion entre michel sitbon (cannabis sans frontière ) et jean pierre galand( circ) de 2009 .avec un petit historique des lois évolutives et régressives successivesde notre pays .

     


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