•  

    Pays-Bas - Un week-end à Amsterdam
    © Sarah-Émilie Nault | Agence QMI
    Que l’on arrive en avion ou en train, la magie reste la même lorsque s’ouvrent toutes grandes les portes donnant sur Amsterdam, aux Pays-Bas.


    Que l'on arrive en avion ou en train, la magie reste la même lorsque s'ouvrent toutes grandes les portes donnant sur Amsterdam.

     

    Devant nous, la ville s'active dans toute sa splendeur, entre les tintements de clochettes de vélo et la foule qui envahit tranquillement les ruelles pavées.

    Mais c'est son ambiance éclatée qui frappe la première lorsque l'on débarque dans la capitale des Pays-Bas. Cette ouverture dont on a tant entendu parler et qui s'étend bien au-delà de la légalisation de certaines drogues douces et des fameux coffee-shops qui bordent chacune des rues du centre-ville. Ici, les jeunes se mélangent aux gens plus âgés, les touristes aux habitués.

    Un séjour à la vitesse de l'éclair

    Un week-end à Amsterdam, c'est tout aussi court qu'enivrant. Il vaut mieux être bien chaussé, avoir l'esprit ouvert et garder en tête que cette ville se doit d'être apprivoisée, préférablement dès le petit matin. La beauté des canaux et les petits ponts que l'on retrouve un peu partout au cœur de la ville vaut à elle seule les heures de voyage pour se rendre aux Pays-Bas. Tôt le matin, à travers la brume ou la neige fine qui couvre parfois les froides journées d'hiver, rien n'est plus agréable qu'une promenade à la découverte des canaux intérieurs d'Amsterdam. Il faudra vous faire photographier sur l'un des jolis ponts surplombant les canaux Singel, Herengracht, Keinzersgracht ou Prinsengracht, attestation suprême de votre passage dans la métropole.

    C'est aussi tôt en matinée qu'il est préférable de se rendre visiter la maison d'Anne Frank, l'émouvant refuge de cette adolescente juive, aujourd'hui convertie en musée. C'est là que la toute jeune Anne et sa famille vécurent cachées pendant deux années, durant la Seconde Guerre mondiale, pendant l'occupation allemande. Cette maison et son annexe se visitent dans l'émotion et le souvenir de cette jeune fille qui a décrit sa peur et son angoisse dans un journal aujourd'hui mondialement connu, Le journal d'Anne Frank. Information: www.annefrank.org/fr

    Direction coffee-shops

    Il est impossible – voire impensable – de visiter Amsterdam sans se rendre dans l'un de ses fameux et fort nombreux coffee-shops. Alors que les touristes ont eu bien peur de voir disparaître, en mai 2011, leur droit de fréquenter ces endroits fort réputés, il semble que la politique de tolérance néerlandaise ait été renouvelée, jusqu'en juin 2015.

    Ceux qui ne souhaitent pas nécessairement aller «jusqu'au bout» de l'aventure en testant la marchandise se doivent tout de même de pénétrer dans l'un de ces antres conviviaux et (presque) magiques, qui vont du simple et tranquille petit café à celui plus vivant où rock'n'roll et musique techno accueillent les clients légèrement intimidés. C'est là que les aventureux auront la chance de choisir – en toute légalité – à travers une sélection internationale de haschich et de cannabis de qualité. Oui, des menus complets ont été créés pour l'occasion! Attention aux brownies qui, là-bas, possèdent des qualités plus que nutritives…

    Que ce soit pour boire un simple café – les boissons alcoolisées y sont généralement interdites – ou pour essayer l'une des nombreuses variétés de drogues douces ouvertement proposées, la visite d'un coffee-shop reste une expérience unique en soi. Information: www.amsterdam.info/fr/coffeeshops/ et www.amsterdam.info/coffeeshops/grasshopper/  

    suite site source :http://fr.canoe.ca/voyages/destinations/europe/weekend/archives/2012/03/20120306-141340.html 


    votre commentaire
  •  dans la lignée d' un article que j'ai posté précédemment le 1er épisode de weed war en français.

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    [ENCOD] Festival de la Paix des Drogues pendant le sommet des Nations Unies à Viennes

    Communiqué de presse de la Coalition européenne pour des Politiques justes et efficaces en matière de Drogues

    29 Février 2012

    Du 9 au 16 Mars 2012, un “Sommet de la paix des drogues” se tiendra en parallèle de la réunion annuelle de la Commission des Nations Unies sur les stupéfiants dans la Cité Internationale des Nations unies à Vienne.

    Ce Festival est un rassemblement spontané de citoyens qui, avec des millions d’autres à travers le monde, veulent un changement profond des politiques de drogues. Ces politiques devraient se fonder non pas sur la prohibition, mais sur la santé publique, la réduction des risques, une analyse coût-bénéfice et le respect des Droits Humains fondamentaux. 

    suite ici :http://droguesblog.wordpress.com/tag/cannabis-social-club/ 


    votre commentaire
  •  

     

  •  
  •  

     

     

     

  •  
  •  

     

     

     

  • Science/Israël: une étude révèle que le cannabis est efficace pour traiter les symptômes du cancer
  •  

     

     

     

  • Etats-Unis: la légalisation du cannabis à usage médical ne fait pas augmenter la consommation des jeunes
  •  

     

     

     

  • En bref
  •  

     

     

     

  • Un coup d'œil sur le passé
  •  

     

     

     

  • LIEN ICI :
  •  

     

     

     

  • http://cannactus.blogspot.com/2012/03/cannabis-medical-iacm-bulletin-du-19.htmlLI 
  •  

     

     

     

  • LIEN  LILIEN ICILI
  •  


votre commentaire
  • Cannabis médical: Santé Canada demande conseil aux hors-la-loi

    Québec) Alors qu'il se prépare cette année à faire face à la justice pour distribution illégale de cannabis médical, Marc-Boris Saint-Maurice, du Centre Compassion de Montréal, a eu toute une surprise il y a quelques jours quand Santé Canada l'a convié à une rencontre afin de lui demander conseil sur la façon de faire pousser de la marijuana et les mesures de sécurité et d'inspection à mettre en oeuvre.

    «C'est un peu spécial, j'en conviens. L'été dernier, Santé Canada avait contacté tous les dispensaires, car ils souhaitaient enlever les permis de production personnelle de cannabis médical et parlaient plutôt de donner des contrats de production à des entreprises commerciales qui répondraient à certaines exigences», raconte Marc-Boris Saint-Maurice, un pionnier de la lutte pour la légalisation du cannabis, en entrevue au Soleil.

    Par la suite, Santé Canada est revenue à la charge, sollicitant une rencontre afin d'obtenir les conseils de personnes détenant un permis de production de même que de centres de compassion ontariens et des Maritimes, et même de ceux du Québec, qui ont pourtant tous été fermés lors d'une opération policière en 2010.

    La rencontre a eu lieu le 22 février à Ottawa. «C'est la première fois que nous sommes l'objet d'une telle approche. N'oublions pas que ceux qui étaient là étaient tous des gens qui faisaient ça de façon illégale, parallèle. Santé Canada reconnaît enfin l'expertise de ceux qu'il cherchait à exclure, les producteurs et distributeurs de cannabis médical qui opèrent en marge de la loi», fait-il remarquer.

     

    Une vingtaine de personnes ont participé à l'exercice. «Les gens de Santé Canada prenaient beaucoup de notes et posaient beaucoup de questions. Comme, par exemple, comment on s'y prend pour faire pousser de la marijuana, quelles sont les mesures de sécurité idéales, comment doit se faire l'inspection, quelles qualifications doivent avoir les gens qui font le contrôle de la qualité», poursuit-il. 

    suite site source :http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201203/04/01-4502425-cannabis-medical-sante-canada-demande-conseil-aux-hors-la-loi.php 


    votre commentaire