• Y avait-il assez de joints pour les 33 mineurs chiliens?

     

    Comment survit-on 70 jours à plus de 700 mètres sous terre? Cette question a tenu la planète en haleine cet automne, vibrant au rythme des nouvelles des 33 mineurs chiliens pris au piège au fond d’un gisement de charbon du désert de l’Atacama. Grâce à du cannabis et à des posters de pin-ups envoyés depuis la surface, nous apprend le  livre Los 33, signé Jonathan Franklin, journaliste au New York Times. L’envoi d’une poupée gonflable aurait même été envisagé, assure l’auteur, mais les risques de jalousie que le partage de la belle en plastique risquait de susciter étaient trop grands.

    Las, le cannabis, s’il a sûrement aidé à faire passer le temps de certains, a provoqué des tensions au sein du groupe. En effet, Samuel Avalos, l’un des 33, s’est plaint que ses camarades n’étaient pas très enclin à faire tourner les pétards reçus dans les courriers de leur famille, et ce au mépris de toutes les règles de courtoisie: « Ils ne m’en ont jamais offert un seul. »

    A la lecture de ce triste récit, une collègue des Inrocks à cheval sur les bonnes manières m’a soumis cette question oh combien épineuse: « Quelles sont les règles de savoir-vivre en matière de rotation de pétards? » Autrement dit, comment, en société, allumer le pet’ sans déterrer le hasch de guerre?

    suite site source:http://blogs.lesinrocks.com/droguesnews/2011/02/16/y-avait-il-assez-de-petards-pour-les-mineurs-chiliens/


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