• L’ingéniosité des dealers de marijuana mexicains paraît sans limite. Leur dernière trouvaille n’est autre qu’un canon à air comprimé qu’ils utilisent pour faire passer la drogue au-dessus du mur qui sépare le Mexique des Etats-Unis.

    Les douanes américaines n’en reviennent toujours pas. "Nous n'avions jamais vu cela auparavant. Il y avait eu des catapultes, mais jamais rien de semblable", a confié Kyle Estes, le porte-parole des gardes-frontières américains.

    La ruse a été découverte après que les gardes-frontières américains soient récemment tombés, près de San Luis dans l’Etat de l’Arizona, sur 33 barils contenant chacun environ 38 kilos de marijuana.

    Plus malins que les trafiquants, les policiers américains ont pu récupérer avant eux la totalité de la drogue dont le montant à la revente est estimé à 42.500 dollars.

    Ils ont également fait main basse sur une cuve de dioxyde de carbone qui une fois mise sous pression, servait de propulseur au canon.

    Le mur séparant le sud des Etats-Unis du nord du Mexique a fini d’être érigé en 2008. Sa construction a nécessité deux années de travaux. Long de 650 kilomètres, il est censé empêcher le passage de la frontière américano-mexicaine par les clandestins mexicains 

    site source :http://cannabis-infos.blogspot.fr/2012/12/le-canon-marijuana-fait-un-tabac-au.html 


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  • positivons en ce jour de nouvelle ère car si vous lisez ceci c'est que vous ètes encore vivant,donc prèt pour la guerre mondialisée qui se profile ...youpi ...quand mème

     

     

    !! 


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  • le tepezcohuite est un arbre dont l'écorce guérie les "grandes brulures" des "grand brulés"...suite en espagnole ...

     


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  • Dominique Loumachi. Photo Xavier GORAU

    Dominique Loumachi. Photo Xavier GORAU

     
    ARTICLES ASSOCIES

     
     

    Dominique Loumachi avance à la barre du tribunal correctionnel de Belfort. Un peu penché, soutenu par une canne. La petite quarantaine, il est myopathe, atteint de dermatomyosite, depuis l’âge de 9 ans. Il est poursuivi pour détention et usage de stupéfiants. Plus précisément, d’herbe de cannabis, le « seul remède » censé soulager le mal qui le ronge.

    La maladie, dépistée en 1983, se caractérise par de l’asthénie, un affaiblissement général. Mais surtout par des problèmes musculaires, cardiaques, de vue, des érythèmes avec inflammations et des nécroses.

    « Pas un toxicomane »

    L’enfant de la DASS expérimente, dès l’âge de 16 ans, des médicaments contre sa maladie, parfois « de véritables bombes avec 75 effets secondaires ». Des tests officiels et non-officiels. « J’ai été le cobaye humain de la médecine », a-t-il répété au tribunal. À qui il révélait son action en justice via le service juridique de l’AFM, il y a trois ans, pour « mise en danger d’autrui ». « Je ne suis pas un toxicomane, juste un malade qui essaie de se soigner », dit-il, la voix bien timbrée. « Tout va mal dans mon organisme, sauf le moral », s’amuse-t-il même à lâcher. Le sourire aux lèvres. Et toujours debout. Tant bien que mal. Malgré (ou peut-être aussi grâce) « au stade extrême des traitements anitidouleur : douze cachets de codéine par jour. »

    Pour sa défense, M e Jean-Charles Darey plaide l’état de nécessité. Son client ne tire pas profit des trois malheureux plants maladroitement cachés sur un balcon. Il a subi trois attaques cardiaques, deux pulmonaires. « Alors, que faire quand les médecins ne savent plus quoi faire ? », lance-t-il au tribunal. « Il s’est tourné vers une médecine parallèle, la prise de cannabis. » Et de brandir l’ordonnance du docteur Ziegler, chef du service neurologie du CHBM, justifiant « que le cannabis peut être bénéfique en traitement adjuvant de la douleur neurologique ». Puis de solliciter la relaxe au titre de la jurisprudence concernant l’arrêt de la cour d’appel de Papeete (voir encadré), qui avait relaxé un malade paraplégique de Tahiti jugé pour consommation et culture de cannabis. 

    Rejetant l’argument, par crainte d’« une apologie des stupéfiants », Christophe Gérot, pour le ministère public, a requis contre Dominique Loumachi 300 euros d’amende avec sursis. Le tribunal a mis l’affaire en délibéré au 13 février 2013.

    Élisabeth BECKER 

     site source :http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/15/cannabis-therapeutique 


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