• Source : Wetenschap De Jaap.nl

    29 aout 2012

    Par Marcel Hulspas


     

    Fumer du cannabis rend bête. Nous pouvions le voir partout hier, dans tous les journaux, à la radio et à la télévision, sur tous les sites d’informations. Personne ne pouvait échapper au message : fumer du cannabis diminue l’intelligence.

    Cette affirmation provient en gros du fait suivant : des chercheurs néozélandais disposent des scores de QI d’environ un millier d’hommes de l’enfance à l’âge adulte. Ils y ont sélectionné les gros fumeurs, des hommes fumant du cannabis avant leurs 18 ans et fumant encore juste avant le dernier test de QI réalisé spécialement pour cette étude. Le résultat démontre que ces gros fumeurs ont en moyenne 8 points de QI en moins, ce qui est significatif. C’était cela cette nouvelle mondiale. Mais cette baisse de QI n’est pas étonnante.

    Au moment du dernier test ce groupe de fumeurs était en partie ou totalement défoncé. Les chercheurs donnent également les chiffres pour le groupe qui a fumé quasi aussi longtemps, mais qui a arrêté peu de temps avant l’étude (jusqu’à quelques semaines). Ce groupe s’est défoncé pendant des années, mais n’avait assurément plus aucune trace de cannabis dans le sang. Ils y ont trouvé une diminution de 2 points de QI. Cela n’est rien, cela se perd dans le bruit de fond. Il n’y avait donc pas dans ce groupe de diminution (significative) du QI.

    Les conclusions du groupe auraient donc dû être : fumer du cannabis est étourdissant, cela se note sur les test de QI. Fumer des cannabis pendant des années n’a aucun effet sur le QI. Après un arrêt du cannabis de quelques semaines, il n’y a plus aucune différence comparé aux personnes qui n’ont jamais fumé.

    C’est une bonne nouvelle. Fumer du cannabis peut évidement être néfaste, on peut en devenir raide dingue. Mais cela n’a pas d’incidence persistante sur le QI. Cependant les chercheurs néozélandais ne l’ont pas signalé. Évidement que non. Ils n’étaient pas payé pour cela. Ils ont reçu de l’argent pour une recherche sur le fait de fumer du cannabis, ce qui signifie prouver que fumer du cannabis est extrêmement mauvais. Ils l’ont donc écrit et publié même si leurs chiffres prouvent le contraire.

    Je n’en veux pas aux chercheurs, ils doivent gagner leur vie. Ils pensaient probablement qu’une étude négligée en Nouvelle-Zélande n’attirerait pas l’attention, qu’ils s’en tireraient bien. Mais ils ont oublié que tout article de presse, d’où qu’il vienne, titré avec « cannabis » fait automatiquement l’actualité mondiale. Une telle chose est recopié frénétiquement et aveuglément partout sur la planète. On n’y échappe pas en Belgique et en France. 

    suite site source :http://www.encod.org/info/LE-CANNABIS-REND-LES-MEDIAS-PLUS.html 


    votre commentaire
  • Une étude sponsorisée par le gouvernement détruit la classification de la DEA (Drug Enforcement Administration) du cannabis

    Une étude récemment publiée dans le « Open Neurology Journal » conclue que le cannabis apporte un soulagement aux douleurs chroniques et que plus de tests cliniques doivent être faits, détruisant complètement la classification de la DEA comme étant une drogue sans usage médical.

    Tandis que de nombreuses études ont montré l’utilité de la marijuana pour de nombreuses maladies, il n’a jamais été une priorité pour la DEA de mettre la marijuana sur leur agenda des substances contrôlées. Cette étude, sponsorisée par l’Etat de Californie et conduite à l’Université of California Center for Medical Cannabis Research fait précisément cela en dénonçant la mauvaise classification du cannabis par la DEA comme drogue « Schedule I », donnant une lourde tâche au cœur de la lutte des Etats-Unis contre les consommateurs de cannabis.

    Paul Armentano, directeur de la National Organization for the Reform of Marijuana Laws (NORML), a réagi à cette étude : « cela prouve que la politique des Etats-Unis en matière de drogue est ni basée ni guidée par la science. En fait elle est hostile à la science et malgré le mémo publié en 2009 par l’Administration Obama, qui dit que la science et le processus scientifique doivent informer et guider les décisions de l’Administration, il y a peu, voir pas de preuve indiquant que le gouvernement fédéral est en train de changer ou va changer son approche au cannabis.

    « Schedule I » est soi-disant réservé pour la classification des substances les plus enivrantes qui n’ont, selon la DEA, pas de valeur sur le plan médical, comprenant le LSD, l’ecstasy, le peyote ou l’héroïne. Comme la DEA le décrit : « les drogues classifiées « Schedule I » n’ont pas d’usage médical accepté aux Etats-Unis, elles ne peuvent donc pas être prescrites, administrées ou dispensées pour un usage médical. Au contraire les drogues listées « Schedule II-V » ont un usage médical accepté et peuvent être prescrites, administrées ou dispensées pour un usage médical.

    Et cela est le problème, prédit l’auteur.

    La classification du cannabis en « Schedule I » en plus de la perpétuelle controverse, à savoir si le cannabis a une valeur médicale ou pas sont des obstacles au progrès médical dans ce domaine. Ils ont écrit : « Basé sur les indications actuellement disponibles, la classification « Schedule I » n’est pas soutenable. Ce n’est pas exact de dire que le cannabis n’a pas de valeur médicale ou que les informations concernant la sécurité sont insuffisantes. C’est vrai, le cannabis a un potentiel d’abus mais son profile ressemble plutôt aux drogues dans la « Schedule III » (où la codéine et dronabinol sont listés). J’espère que le conflit perpétuel entre les preuves scientifiques et une idéologie politique se réconciliera de manière judicieuse. 

    suite site source :http://www.chanvre-info.ch/info/fr/Une-etude-detruit-la.html 


    votre commentaire
  • le buziness de la " b-c bud" au canada,et particulièrement dans la ville de Grand Forks en colombie britanique.

     


    votre commentaire
  • les diverses mafias disent merci aux prohibitionnistes.

    que le pélerin de base se débrouille avec l'insécurité que génère cette stupide  "illégale" loi discriminante, pour le voyageur,et inquisitrice pour les hollandais eux- mèmes.donc le manque à "gagner" pour les localités,pas seulement en fréquentation de coffeshop, mais aussi en restauration ,hotellerie ,musés ect...  de mème en taxes, pour le gouvernement ne sera pas assez puissant face à la volonté de loobyistes pharmaceutiques  et/ou sécuritaires, d'interdire pour simplement interdire,en faisant fit des droits et libertés de chacun quittent à "créer " des lois absolument pas demandées par le peuple ,quittent à continuer le mensonge, alors que des dizaines d'études dorénavant contredisent tous les arguments falacieux des prohibitionistes sentencieux à qui ils manquaient un levier oppressif aux pays-bas.

    marcoelkako.

     

     


     

    Un panneau en français avertit les touristes de la nouvelle législation sur la drogue à Maastricht, le 27 avril 2012 (MARCEL VAN HOORN/ANP/AFP)

    (De Maastricht) Les Pays-Bas, référence mondiale de tolérance à l’égard du cannabis, se sont transformés en trois mois à peine en laboratoire de ce qu’il ne faut pas faire en matière de politique de drogue : prohiber brutalement. Le basculement d’une vente limitée et contrôlée vers une vente sauvage, illégale, échappant à tout contrôle, est spectaculaire à Maastricht.

    Depuis l’introduction du « wietpas » (passeport herbe) dans le sud des Pays-Bas, qui restreint la vente de cannabis aux résidents hollandais dûment enregistrés, le commerce de l’herbe s’est déplacé, à Maastricht, des coffee shops vers la rue à une vitesse sidérante. Il suffit d’arpenter le quartier des quais pour se faire aborder tous les 20 m par des vendeurs étonnamment peu discrets.

    Axel est l’un de ces innombrables petits vendeurs qui profitent de cette prohibition nouveau genre. La trentaine, portant chemise et pantalon au pli impeccable, il fait l’effet d’un vendeur d’autos, mais il a choisi le commerce du cannabis, où d’intéressants débouchés s’offrent à lui dans le coin.

    On estime à 2,5 à 3 millions le nombre des clients annuels des coffee shops maastrichtois avant l’instauration du wietpas, dont la moitié venaient de l’étranger. D’après le cabinet du maire, seulement… 1 500 wietpas ont été distribués à Maastricht depuis le 1er mai. Car même les Hollandais ont déserté les coffee shops, par réticence de se faire enregistrer afin d’obtenir leur wietpas. 

    suite site source :http://www.rue89.com/2012/08/18/maastricht-deale-du-cannabis-jusque-dans-les-centres-commerciaux-234688 


    votre commentaire
  • Des chercheurs ont découvert deux cannabinoïdes qui peuvent augmenter la quantité d’énergie consommée par l’organisme.
    Bien que le cannabis soit mieux connu pour provoquer une sensation de faim, une « fringale », chez ceux qui en fument, des scientifiques ont découvert qu’il peut aussi avoir un effet coupe-faim, après en avoir examiné deux composés appelés tétrahydrocannabivarine (THCV) et cannabidiol (CBD).

    « Les résultats sur des modèles animaux ont été très encourageants. Nous nous intéressons à la façon dont ces composants influencent la diffusion et l’utilisation des graisses dans l’organisme pour traiter les maladies métaboliques », explique le docteur Steph Wright, directeur du pôle recherche et développement de GW pharmaceuticals.
    Cannabidiol (CBD) chemical structureDes tests sur des souris ont montré que les composés stimulent le métabolisme des animaux, entraînant une baisse des taux de graisse dans leur foie et réduisant leur cholestérol sanguin. On a aussi constaté que le THCV augmentait la réceptivité des animaux à l’insuline tout en protégeant aussi les cellules qui produisent de l’insuline, leur permettant de fonctionner mieux et plus longtemps. Cela a fait naître l’espoir d’être en mesure de développer ces composés pour mettre au point des traitements contre les maladies en rapport avec l’obésité et le diabète de type 2.
    GW Pharmaceuticals va maintenant lancer la phase de test IIa et étudie déjà divers médicaments à base de marijuana pour le traitement de la sclérose en plaques, de l’épilepsie, des douleurs liées au cancer et d’autres affections.
    Selon le professeur Mike Cawthorne, directeur de la recherche sur le métabolisme à l’Université de Buckingham, qui a mené ces études sur les animaux : « Globalement, il semble que ces molécules augmentent la dépense en énergie au sein des cellules de l’organisme en augmentant le métabolisme. »
    Le Royaume Uni est le second pays au monde qui compte le plus grand nombre d’obèses après les États-Unis, où 35,7 % des adultes sont qualifiés d’obèses ; un pourcentage significatif d’enfants a été également diagnostiqué comme étant obèses. Avec la prédominance des grands groupes de fast-food, l’obésité devient également une question de plus en plus problématique dans les pays en développement.

    « Ces découvertes sont extrêmement importantes, particulièrement quand il s’agit de comparer la marijuana et l’alcool », indique Rob Kampia, directeur exécutif du Marijuana Policy Project (Projet pour une politique de la marijuana) à Washington, D.C. en réaction à ces constatations. « La marijuana est évidemment plus sûre que l’alcool, mais je comprends maintenant pourquoi j’ai pris plus de 10 kilos quand j’ai arrêté de consommer de la marijuana mais continué à boire de l’alcool, en plus du fait que l’alcool contient des calories alors que la marijuana n’en contient pas. C’est fantastique de découvrir que la structure moléculaire de la marijuana peut réellement combattre l’obésité et les maladies qui s’y rapportent, mais il y a aussi de quoi se mettre en colère quand on pense aux attaques permanentes de l’administration Obama contre la marijuana médicinale. Si la Première Dame se soucie vraiment de l’obésité en Amérique, elle devrait dire à son mari d’arrêter de se mêler des lois des états et de la recherche sur la marijuana médicinale. Après tout, les maladies cardiaques, les attaques et le diabète tuent chaque année des centaines de milliers de gens dans ce pays. La marijuana n’en cause pas un seul. »

    Source: The Telegraph 

    site source :http://fr.sensiseeds.com/le-cannabis-et-ses-effets-sur-le-metabolisme/ 


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique