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    Top 10 Certains spots touristiques ont bâti leur réputation sur une drogue, d'autres mêlent tourisme culturel et découvertes spirituelles. Des Andes aux clubs de Warschauer Strasse, 10 récits d'expériences narcotiques pendant les vacances

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    « Comme tu passes 12h la tête dedans, tu as toujours des petits yeux ! »

    C’est où : A une centaine de kilomètres au nord de Sacramento dans la région de la « Grass Valley » où se concentrent les exploitations de marijuana en Californie.

    La drogue : En Californie, cultiver, consommer et transporter de la marijuana est dépénalisé à partir du moment où vous bénéficiez d’une ordonnance de votre médecin. Et d’après Romain, 27 ans, venu visiter la région avec une copine, « il suffit de donner un bakchich à un médecin pour en obtenir une ».

    Comment ça se passe : Si Romain est parti découvrir la Californie en septembre 2011, c’était avec « le but de trouver un taf dans la weed. » Alors le jeune homme passe du temps dans « la Grass Valley » et trouve rapidement le bistrot où viennent pointer les saisonniers. Il y fait choux-blanc mais une nuit, à 3 heures du matin, « un vieux hippie grec complètement bourré » lui propose de monter dans son pick-up et de démarrer le boulot dès le lendemain, à 8h du mat’. Banco ! Sur le coup, Romain et son amie se demandent quand même un peu où ils foutent les pieds.

    Le trip de Romain : « Tu trimes – tu commences le taf à 8h du matin et tu termines à 20h. Le truc le plus chiant, c’est de couper à raz et au ciseau les têtes de beuh. Mais ce qui est génial, c’est que tu es assis, avec vue sur les montagnes et des enceintes pour mettre la musique que tu veux. Et comme tu passes 12h la tête dedans, tu as toujours des petits yeux ! Le Grec nous a payés en weed et en dollars. En plus, tu es nourri, logé, blanchi. Et l’exploitation était tranquille : on était 5 pour 50 pieds. »

    Attention chômage ! Romain explique que ce n’est pas forcément facile de trouver du taf dans la weed quand on ne connaît personne en Californie. Une situation qui se serait aggravée à cause de la crise économique : « C’est comme pour nous avec les vendanges, c’est le plan pour les jeunes Américains qui sont en galère de taf. Il y a beaucoup de concurrence. » Romain de mettre aussi en garde contre les braquages : « Ça arrive dans plein de fermes ! »

    site source et carte interactive avec les autres spots ici :http://www.streetpress.com/sujet/98058-romain-part-3-semaines-en-californie-pour-travailler-dans-une-ferme-a-cannabis


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  • Banco del Sur

    Intégrée par l’Argentine, la Bolivie, l’Equateur, l’Uruguay et le Venezuela, la nouvelle entité aspire à créer un fonds pour fomenter le développement économique de la région dans le but de renforcer sa souveraineté.

    L’Amérique Latine continue à renforcer son processus d’intégration régionale tout en construisant une alternative au système économique à tendance néolibérale, en vigueur dans les pays du Nord. La banque du Sud, dont le premier Conseil des Ministres a eu lieu le 12 juin dernier à Caracas, constitue la dernière étape de cette construction.

    Crée en 2007 à l’initiative des défunts Hugo Chavez et Nestor Kirchner, ex présidents de la République Venezuela et de la République d’Argentine, la Banque du Sud cherche à collecter 20.000 millions de dollars, bien que ses actionnaires n’aient réussi à débourser que 7.000 millions : les pays qui sont à son origine, sont pour le moment l’Equateur, Paraguay, Uruguay, Brésil, Bolivie, Argentine et le Vénézuela, c’est-à-dire, les pays intégrant le MERCOSUR plus l’Equateur.

    Selon Susanne Gratius, professeure des relations internationales d’Amérique Latine, « Nicolas Maduro et Elias Jaua ont repris le projet pour réaffirmer le protagonisme du Venezuela en Amérique du Sud et plus particulièrement au sein du MERCOSUR, dont la présidence pro tempore sera assumée par le Venezuela le 1er juillet.

    Si d’un côté le Venezuela prend du poids, le Paraguay ne cesse pas d’en perdre, car c’était le seul des six Etats qui n’a pas été représenté lors de la première réunion ministérielle, après avoir été écarté de diverses instituons continentales suite au coup d’Etat parlementaire contre le président Fernando Lugo en juin 2012.

    Impulser le développement

    « Le but est la création d’un fond pour financer les travaux structurels et impulser le développement économique de nos pays sans être obligés d’en dépendre des sources traditionnelles comme en sont les organismes multilatéraux (Banque Mondiale ou Banque Interaméricaine du développement) ainsi que les conditions avec lesquelles ces banques accompagnent leurs crédits. Cela permettra aussi une certaine autonomie dans la planification des lignes stratégiques du développement sans avoir à répondre dès le début aux intérêts des entreprises transnationales qui y participent » explique le professeur d’économie, Omar de León.

    « Cette position répond plus à de politiques symboliques qu’à une transformation radicale des institutions ou des relations de pouvoir » dit le professeur d’économie politique de Málaga, Alberto Montero. Ce qui confirme aussi Pablo Iglesias, professeur de sciences politiques « la création de cette banque est un pas de plus de positionnement, d’attachement souverain, de la région face à l’Europe, où la Banque Centrale (BCE) est devenue un espace des lobbies allemands ce qui a empêché aux autres pays d’exercer leur autonomie économique et mis en relief leur carence ou incapacité en matière de politique monétaire ».

    Un modèle en confrontation avec le FMI

    Iglesias qui conclue ainsi : “Les politiques imposées, qu’en Europe se concrétisent en la troika, appauvrissent de plus en plus les citoyens. L’alternative c’est ce que montrent pays comme le Venezuela, Bolivie mais surtout l’Equateur, qui ont amélioré tous les indicateurs économiques et sont en train de récupérer leur souveraineté – tout le contraire de ce que nous voyons en Europe – L’Amérique Latine donne l’impression de renforcer les institutions collectives pour donner plus de pouvoir aux gouvernements, ce qui est le contraire de ce qu’on voit en Europe »

    Tout comme l’expliqué le professeur Montero, en faisant référence aux rajustements structurels qui se sont concrétisés avec le Consensus de Washington au début des années 1990, « le FMI et la Banque Mondiale fonctionnent comme des agents des créanciers lors de l’épisode de la dette extérieur ». Il s’agit de « ce qui a lieu actuellement en Europe, avec les mêmes politiques, les mêmes acteurs et les mêmes actes prévisibles : l’on écrase les populations pour payer la dette aux créanciers en substituant le paiement de la dette financière par la dette sociale » conclut Montero.

    « Surmonter les ajustements néolibéraux du FMI était une exigence pour réinventer le continent » affirme Monedero. « C’est pour cela que eux ils grandissent et l’Union Européen coule. Il serait une bonne chose que l’Espagne, la Grèce et le Portugal intègrent la Banque du Sud.

    suite site source :http://www.mondialisation.ca/lamerique-latine-lance-la-banque-du-sud-et-defie-le-fmi/5342003


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  • Thierry Deronne


    Les présidents de l’Union des Nations d’Amérique du Sud Rafael Correa (Equateur), José "Pepe" Mujica (Uruguay), Cristina Fernandez (Argentine), Evo Morales (Bolivie), Nicolas Maduro (Venezuela), Dési Bouterse (Surinam) et d’autres pays membres comme le Pérou ou la Colombie, demandent "des excuses et des explications à la France et aux autres pays" dont les gouvernements ont abdiqué leur souveraineté et violé le droit international sur injonction du gouvernement des États-Unis.

    Vendredi 5 juillet 2013

     

    La réponse n’a pas tardé. Ce 5 juillet à Cochabamba (Bolivie), lors de la réunion d’urgence de l’UNASUR accompagnée d’une mobilisation des mouvements sociaux, le président équatorien Rafael Correa résume la position de ses homologues latino-américains au sujet de l’atteinte à la souveraineté de la Bolivie et à l’immunité de son président Evo Morales (1) :  “nous n’acceptons pas qu’on nous traite comme une colonie, le monde entier doit réfléchir sur la gravité de ce qui s’est passé : on a empêché un président jouissant d’une absolue légalité de traverser un espace aérien. Si cela s’était produit contre les États-Unis ou un pays européen cela aurait constitué un casus belli. On a détruit la charte des États-Unis et l’amitié entre États. (..) Que Edward Snowden fût ou non dans l’avion n’entre pas en ligne de compte. Un président a le droit de transporter qui il veut dans son avion. Le problème est que certains se sont perdus dans l’Histoire il y a 500 ans et que le droit international qu’ils invoquent si souvent ne vaut que quand il leur convient”.

    La présidente argentine Cristina Fernandez avait dès les premiers instants, depuis son compte Twitter, dénoncé "la violation de l’immunité absolue conférée par le droit international, garantie par la convention de 2004 et le Tribunal de la Haye", souligne qu’ "il ne s’agit ni d’une erreur ni d’un problème technique, ils veulent comme il y a cinq siècles nous soumettre, une fois de plus, à l’humiliation et à l’asservissement."

    Le président vénézuélien Nicolas Maduro explique "qu’en quelques secondes nous nous sommes retrouvés dans ce monde unipolaire que nous rejetons tous, où un seul se croît le maître du monde. L’Amérique Latine rebelle et révolutionaire se lève et parle d’une seule voix" et rappelle que le 12 juillet une réunion du Mercosur analysera également cette violation du droit international, déjà condamnée par l’ALBA, l’OEA et les autres nations latino-américaines, du Chili à Cuba et du Mexique au Nicaragua ou au Brésil.

    T.D., Caracas, le 5 juillet 2013.

     

    Nous publions le point de vue de Patrick Bèle, journaliste au Figaro. Si Le Monde ou Libération restent enlisés dans des règlements de compte idéologiques franco-français sur ce qui bouge en Amérique Latine, en revanche le Figaro, journal de droite lu par des entrepreneurs en recherche de marchés, se doit à une certaine empathie avec le réel, du moins dans ses pages "internationales".

    Avion de Morales : la France et l’Europe ridicules

    Par Patrick Bèle (Le Figaro) le 4 juillet 2013

    Ainsi donc, François Hollande, président de la République française, a expliqué depuis Berlin, que  dès lors que « j’ai su que c’était l’avion du président bolivien, j’ai donné immédiatement l’autorisation de survol » de la France. Voilà donc l’hôte de l’Elysée transformé en aiguilleur du ciel.  Consternant.

    Tout aussi consternant que la déclaration alambiquée du Quai d’Orsay qui exprime « les regrets de la France suite au contretemps occasionné pour le président Morales par les retards dans la confirmation de l’autorisation du survol du territoire par l’avion du président».

    Rappel des faits : le président bolivien, Evo Morales, rentrait de Moscou dans son avion présidentiel quand la France et l’Italie ont refusé le survol de leur territoire après que le Portugal a interdit une escale technique indispensable avant la traversée de l’Atlantique, au motif que Edward Snowden, l’informaticien à l’origine des révélations sur l’espionnage massif organisé par les Etats-Unis (programme PRISM) principalement contre l’Europe était dans l’avion. Information qui s’est révélée fausse.

    Le président Evo Morales a dû faire escale à Vienne où l’ambassadeur espagnol, sous prétexte de boire un café avec le président bolivien, aurait tenté de monter dans l’avion présidentiel pour vérifier si Edward Snowden était à bord ou non. Mais quand bien même la présence de Snowden aurait été avérée, comment la France, qui vient de protester vigoureusement contre l’espionnage massif dont elle est victime,  peut-elle se permettre de refuser le survol d’un avion présidentiel à ce motif ?

    Les circonlocutions du Quai d’Orsay invoquant « un retard dans la confirmation de l’autorisation » sont stupides : quand un avion présidentiel doit survoler le territoire national, les demandes de survol sont déposées très en amont et, en l’espèce, l’autorisation avait été obtenue le 27 juin.

    Cette affaire révèle au grand jour la soumission de l’Europe en général et de la France en particulier aux diktats de Washington. Alors que, comme Reporters sans Frontières le demande, l’Europe devrait protéger Edward Snowden, trois de ses membres (Italie, France et Portugal) se sont comportés comme les simples supplétifs de Washington dans sa volonté de poursuivre devant la justice ce lanceur d’alerte.

    Elle révèle aussi l’incroyable comportement néocolonial de l’Europe qui, au mépris de toutes les règles internationales, se permet d’interdire à un chef d’Etat le survol de son territoire l’obligeant à une humiliante escale de 13 heures à Vienne. Déjà il y a un an, la menace de Londres de donner l’assaut contre l’ambassade équatorienne pour récupérer Julian Assange, créateur de Wikileaks, avait été un exemple de ce mépris européen pour les pays latino-américains et le droit international.

    Mais dans cette affaire, ce n’est pas le président bolivien qui a été humilié mais bien l’Europe, qui s’apprête, comme si de rien n’était, à entamer les négociations sur l’accord de libre-échange avec les Etats-Unis à partir de lundi prochain (sous la surveillance des micros de la NSA ?).

    Les pays sud-américains n’ont pas manqué de réagir. Un Sommet de l’Unasur s’est tenu à Cochabamba ce jeudi 4 juillet. La présidente argentine Cristina Kirchner a estimé qu’un avion « disposant d’une immunité absolue a été illégalement détenu dans la Vieille Europe, ce qui constitue un vestige du colonialisme que nous pensions totalement dépassé. Cela n’a pas été seulement une humiliation pour la Bolivie, mais pour toute l’Amérique du Sud ».

    De son coté, le gouvernement chilien « regrette et refuse le traitement auquel a été soumis le président de la Bolivie… et lance un appel à éclaircir ce qui s’est passé ». Rappelons que le Chili est présidé par Sebastian Pinera, qui n’est pas exactement un dangereux gauchiste anti-états-unien.

    (Photos David Mercado/Reuter à La Paz et Patrick Domingo/ AFP à VIenne.)

    Note :

    (1) Lire également l’article de Maurice Lemoine, ex-rédacteur en chef du Monde Diplomatique et spécialiste de l’Amérique Latine, "France – Espagne – Italie – Portugal, les petits chiens de l’Oncle Sam", http://www.legrandsoir.info/les-petits-chiens-de-l-oncle-sam.html

    URL de cet article : http://venezuelainfos.wordpress.com/2013/07/05/face-a-une-amerique-du-sud-unie-et-souveraine-la-france-et-leurope-ridicules/

    site source :http://www.palestine-solidarite.org/analyses.Thierry_Deronne.050713.htm


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  • Avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 63 milliards de dollars, le marché de la drogue aux Etats-Unis ne cesse de croître. Si les pouvoirs publics, notamment depuis le mandat du président Nixon, tentent d'endiguer le phénomène, le trafic de drogue sur le sol américain reste difficile à juguler, notamment du fait de l'action des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Pourtant, du Mexique aux quartiers du Bronx, la pierre angulaire du commerce de stupéfiants semble rester la même : la pauvreté, et les problèmes d'intégration qui s'ensuivent.

    Documentaire sur ARTE, mardi 2 juillet à 20h50

    et pour les petits veinards qui viennent ici le doc est là :

    http://future.arte.tv/fr/sujet/etats-unis-la-drogue-une-guerre-sans-fin


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  • Une réunion de l'Union des nations sud-américaines (Unasur) aura lieu jeudi à Lima au niveau ministériel pour évoquer l'escale viennoise, liée à l'affaire Edward Snowden, de l'avion du président bolivien Evo Morales, a annoncé le ministère brésilien des Affaires étrangères.

    Un sommet extraordinaire sera par ailleurs organisé à Cachabamba, en Bolivie, à une date qui reste à définir, a précisé un porte-parole mercredi.

    Evo Morales regagnait la Bolivie mardi soir après une conférence internationale à Moscou quand la France et le Portugal ont interdit à son avion d'emprunter leur espace aérien après des rumeurs selon lesquelles l'informaticien à l'origine des révélations sur les programmes de surveillance américains se trouvait à bord. (voir )

    Le traitement réservé au président bolivien a suscité l'indignation en Amérique du Sud et plusieurs de ses pairs lui ont exprimé leur soutien.

    "Ils sont définitivement tous fous", a lancé la présidente argentine Cristina Fernandez sur Twitter après un coup de téléphone à Evo Morales, resté bloqué cette nuit à Vienne.

    "Je ne suis pas un voleur", lui a selon elle déclaré le président bolivien, qui a expliqué ne pas avoir pu s'opposer à l'inspection de son avion. Les autorités autrichiennes ont fait savoir qu'aucun passager clandestin n'y avait été découvert et l'appareil a pu reprendre l'air vers midi.

    Le ministre bolivien de la Défense Ruben Saavedra a toutefois assuré par la suite que l'appareil n'avait pas été fouillé. Selon le vice-président Alvaro Garcia, des responsables se sont toutefois présentés à la porte de l'appareil.

    Parlant d'un acte dangereux, l'Unsasur, qui regroupe l'ensemble des pays sud-américains, a dénoncé la fermeture des espaces aériens français et portugais.

    "UN AFFRONT À L'AMÉRIQUE LATINE"

    Pour le vice-président bolivien, Evo Morales a été "kidnappé par l'empire". La Paz a adressé une protestation officielle aux Nations unies et des demandes d'explications aux ambassades de France, d'Italie et du Portugal.

    Des manifestants ont brûlé des drapeaux français et jeté des projectiles en direction de l'ambassade de France à La Paz, a-t-on appris de source diplomatique française.

    Le ministre de la Défense a quant à lui accusé Washington d'avoir "manipulé" ses alliés européens.

    En Equateur, le président Rafael Correa a parlé d'actes "extrêmement graves".

    "Nous nous efforçons de réunir (...) les chefs d'Etat et de prendre des mesures contre cet affront fait à l'Amérique latine", écrit-il sur Twitter, dénonçant une atteinte au droit international.

    François Hollande a parlé d'"informations contradictoires sur les passagers (...)".

    "Dès lors que j'ai su que c'était l'avion du président bolivien, j'ai donné immédiatement l'autorisation de survol du territoire", a assuré le président français, lors d'une conférence de presse à Berlin.

    Dans la soirée, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a téléphoné à son homologue bolivien "pour lui faire part des regrets de la France", a annoncé le ministère des Affaires étrangères. "Il lui a fait part des éclaircissements nécessaires sur cet incident", précise un communiqué

    site source :http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/reuters-00533242-l-amerique-du-sud-s-indigne-de-l-escale-forcee-de-morales-582410.php

    note de moi : non , christina, pas fous ... débiles profonds!!

     


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