• L’innovation de la rentrée est américaine signée de l’entreprise DrinkSavvy. Ses ingénieurs ont inventé des pailles et gobelets  qui changent de couleur au contact de drogues  comme le GHB utilisées par les violeurs.

    Des verres et des pailles capables de dépister des drogues

    Le GHB ou acide gamma-hydroxybutyrique est une drogue difficilement repérable car elle n’a ni odeur ni goût particulier. Quelques gouttes glissées incognito dans votre cocktail vous dépossèdent de vos moyens. Pour mieux repérer le GHB mais aussi le rohypnol et la kétamine, trois psychotropes utilisés par les violeurs dans les clubs, Mike Abramson, un ingénieur américain a conçu un système de gobelets en plastique et de pailles équipés de capteurs qui colorent les parois au contact de ces substances. Son idée, calquée sur la trouvaille de scientifiques israéliens présentée en 2011 à la Nano Conference d'Israël, a été développée après que le concepteur ait lui-même été drogué au cours d’une fête chez un ami.

    Ces verres et pailles seront dans un premier temps jetables et devraient être distribués aux États-Unis dans les boites de nuit dès le mois de septembre.  50 000 dollars nécessaires à leur commercialisation ont été recueillis à l’issue d’une campagne de financement menée sur Internet

    site source :http://www.topsante.com/medecine/addictions/drogue/prevenir/des-verres-et-des-pailles-capables-de-depister-des-drogues-42585


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    L’ÉQUATEUR, pays de l’Amérique du Sud, comptant environ 15 millions d’habitants, aura été, jusqu’à l’arrivée de RAFAEL CORREA, l’arrière cour des États-Unis. Ces derniers contrôlaient les pouvoirs de l’État à travers la corruption de ses principaux dirigeants. En 1999, ils y établissaient une des plus importantes bases militaires de l’Amérique du Sud, avec plein pouvoir et immunité pour ses ressortissants.

    Lorsque le jeune économiste, Rafael Correa, se présente à l’élection présidentielle de 2006, il a déjà à son programme la fermeture de cette base militaire. Aux cris d’abois des autorités étasuniennes, il répond en leur demandant d’offrir à l’Équateur la réciprocité en lui permettant d’ouvrir une base militaire équatorienne en Floride. La réciprocité ne faisant pas partie des alternatives, le jeune président Correa, vainqueur à l’élection de novembre 2006, ne modifiera pas son approche ni sur la base militaire, ni sur son engagement de soumettre au peuple une nouvelle constitution, indispensable pour les suites à donner à l’ensemble de ses engagements.

    CORREA PASSE À L’ATTAQUE

    Dès 2007, un projet de nouvelle constitution est élaboré. Il sera soumis au peuple qui le sanctionnera, par référendum en septembre 2008. Sur 80 % des suffrages exprimés, le oui pour la nouvelle constitution obtient 64 %.

    Comme prévu, le président Correa annonce la tenue d’élections présidentielles et législatives, conformément à cette nouvelle constitution, pour avril 2009. Élu au premier tour, il passe au second niveau de son plan de transformation de l’Équateur en un pays indépendant avec une économie et les richesses orientées prioritairement au service du bien commun de la collectivité. Lors de cette dernière élection, il s’était positionné en faveur du « socialisme du XXIe s. », développé par Hugo Chavez du Venezuela et Évo Morales de la Bolivie.

    Fermeture de la base militaire étasunienne

    Dans la nouvelle constitution, il y a un article qui interdit toute base militaire étrangère sur le territoire national. Dès 2009, année prévue pour le renouvellement de l’entente sur cette présence militaire, le président Correa informe les principaux intéressés qu’il ne renouvèlera pas cette dernière. Ces derniers doivent donc plier bagage et retourner sur d’autres terres.

    Correa s’en prend au FMI et à la dette

    En 2008, le jeune président de l’Équateur se démarque en prenant la décision de ne plus payer la part illégitime de la dette publique et de suspendre le remboursement des titres de la dette. Cette part illégitime de la dette a été fixée à 70 % de la dette totale. Correa a pu faire la démonstration que cette part de la dette n’était pas celle du peuple et que ce dernier n’avait pas à la payer. Sadek Hadjeres nous décrit dans un article fort intéressant la trame de ce combat.

    Correa contre Chevron et Texaco

    Il s’agit de l’histoire d’un long combat des communautés indigènes locales contre les multinationales Texaco et Chevron. Correa, en 2009, annonce la possibilité, à certaines conditions, de cesser la production de pétrole dans le pays pour le bien de l’humanité. Il a également, depuis longtemps, apporté son soutien aux communautés indigènes contre ces deux multinationales.

    « C’est en mai 2003, 10 ans après la première plainte déposée contre Texaco, que l’entreprise Chevron [3] a dû se soumettre à la justice équatorienne, à Lago Agrío, et en répondre à plus de 80 communautés touchées par cette catastrophe qui n’a rien de naturel, dont 30.000 victimes. Depuis lors, les parties civiles demandent la réparation de la zone affectée qui s’élèverait selon des experts internationaux à plus de 6 milliards de dollars. Le géant pétrolier réplique qu’il a déjà procédé entre 1996 et 1998 à la réhabilitation de cette zone, ce qui a été démenti par des prélèvements effectués par la suite. »

    Un jugement sera rendu le 14 février 2011, condamnant Chevron à payer 9 milliards $ en compensation pour les dommages causés. Ce jugement, porté en appel, a été maintenu avec, en plus, l’obligation, pour Chevron, de présenter ses excuses, faute de quoi, la pénalité serait doublée.

    Depuis, Chevron dépense des millions de dollars pour discréditer l’Équateur et son président. Ici, un article récent à lire au complet pour comprendre l’ensemble de cette « saga ». 

    Ces actions de Correa ne sont pas étrangères à la tentative de coup d’État, dont il fut victime en 2010

    suite de cet article ici :http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/l-equateur-avec-rafael-correa-139599


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  • vidéo trouvée sur le toujours excellent site égalité et réconciliation,site  politique numéro un, en france sur internet.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/


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  • Les autorités de la capitale mexicaine, pionnière en matière d'avancées sociales telles que le droit à l'avortement ou le mariage homosexuel, ont convoqué la tenue d'un débat sur la légalisation du cannabis, que l'Uruguay s'apprête à mettre en œuvre. Dans la foulée de la réforme engagée dans le petit pays du cône sud-américain, le sujet fait l'objet d'intenses débats au Mexique, où l'ex-président Vicente Fox (2000-2006) et plusieurs politiciens dont l'ancien ministre de l'Intérieur de droite Fernando Gomez Mont se sont faits avocats de la dépénalisation, alors que la guerre menée par le gouvernement mexicain contre les narcotrafiquants a fait plus de 70.000 morts depuis fin 2006.

    L'Assemblée de la capitale, dominée par le Parti de la Révolution Démocratique (PRD, gauche), a ainsi décidé d'ouvrir dès la semaine prochaine des discussions sur ce thème en vue d'un Forum  international sur les politiques anti-drogues prévu du 2 au 4 septembre. Selon certaines sources, l'ébauche d'un projet de loi pourrait âtre esquissée lors de ce forum en cas d'adhésion d'une majorité d'élus.

    «Le temps du non à la dépénalisation est révolu»

    «Nous avons la preuve que le temps du non à la dépénalisation est révolu. Nous avons 30 années de statistiques qui prouvent qu'il n'y a pas moins de délits, qu'ils n'y a pas moins de toxicomanes, qu'il n'y a pas moins de drogue, et qu'il y a en revanche des pertes humaines très élevées», a déclaré mercredi le maire Miguel Angel Mancera lors d'un débat sur la drogue et les droits de l'homme. Du côté du gouvernement, on reste sur une ligne d'opposition à la légalisation, même si le président Enrique Peña Nieto a récemment déclaré être favorable à un large débat sur le sujet.

    Dans le district fédéral de Mexico, les autorités tolèrent actuellement la détention de jusqu'à cinq grammes de cannabis pour une consommation personnelle. En revanche, la culture et la vente sont interdites. Le Mexique est le principal point de passage de la cocaïne à destination du marché américain et constitue le deuxième producteur mondial de cannabis, héroïne et opium, selon l'ONU. En Uruguay, la Chambre des députés a approuvé fin juillet un projet de loi qui, s'il est ratifié par le Sénat, ferait de ce petit pays sud-américain le premier au monde où l'Etat contrôlerait la production et la vente du cannabis.

    Avec AFP
    site source :http://www.20minutes.fr/ledirect/1208383/20130808-ville-mexico-ouvre-debat-legalisation-cannabis
     
     note de moi :d'aprés ce qu'il se passe à marseille, et, partout en france, nous serions bien avisé de suivre cet exemple et celui de l'uruguay, avant que l'hécatombe, que le mexique et l'amérique latine en générale vivent depuis des décennies, nous tombe dessus !!

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